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Dans le cadre de la semaine de l’Environnement, initiée par le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable en collaboration notamment du Projet Waca Mauritanie, l’OGN Clean Beach s’est vu attribuée un important espace à nettoyer dans la zone de l’Hôtel Ahmedi. Cette opération qui a mobilisé des dizaines de personnes à majorité des femmes a démarré le dimanche 11 juin 2023 et prendra fin le 14 juin 2023. Au 3e jour de ramassage des ordures, immondices, détritus et autres qui pullulaient dans la zone, ce sont des tonnes de poubelles qui ont été collectées et acheminées dans les zones de dépôts. Notons que la cérémonie officielle commémorant la journée mondiale de l’océan, a été lancée le jeudi 8 juin 2023 à Nouadhibou.
Le Calame - A plusieurs endroits du tronçon routier Boghé/Kaédi, longue d’une centaine de kilomètres, on constate une dégradation de la chaussée qui a abouti à une disparition du bitume. Ainsi, les autorités entreprennent actuellement des réfections notamment sur l’axe Bababe/Niabina, soit une vingtaine de kilomètres. Entamées sans la mesure préalable qui devait consister à la création d’un axe routier secondaire non bitumé, régulièrement entretenu, ces travaux sont à l’origine d’un véritable calvaire pour les automobilistes obligés d’emprunter des voix sans aucune balise, sur un terrain difficile, qui cause d’énormes dégâts sur les véhicules légers.
Sahara Médias - La société mauritanienne d’électricité (SOMELEC) a affirmé dimanche que l’entretien périodique des stations est une nécessité absolue tout comme les lignes pour le transport et la distribution de l’électricité, ce qui exige l’arrêt du service. Dans un communiqué qu’elle a publié la société a dit qu’elle œuvre à ce que les arrêts soient le plus court possible mais avec la prise en compte cependant des exigences techniques et de l’organisation demandées. La société ajoute que si ces opérations d’entretien ne sont pas réalisées à temps, les coupures d’électricité seront plus nombreuses et plus longues et exposent à des pannes graves les unités de production.
Le Quotidien de Nouakchott - Abderahmane Mohamed Salem, patron de Mauritanian Consulting Group (MCG) MCG et Said Drira CEO de Scet Tunisie amorcent les travaux de réalisation de 4 ponts nouveaux à Nouakchott. Le duo mauritano-tunisien MCG et Scet Tunisie vient en effet de remporter le contrat de réactualisation d’études techniques de ponts en question piloté par le ministère de l’Habitat. Le consortium qui faisait face à la concurrence du cabinet tunisien LCI qui a effectué les études du pont de carrefour Madrid de Nouakchott et de 4 autres prétendants au marché de consultant encaisse 99,2 millions d’ouguiya ancienne.
Sahara Médias - Le ministre mauritanien de l’hydraulique et de l’assainissement Sidi Mohamed ould Taleb Amar a affirmé jeudi qu’aucun des projets de son ministère n’est à l’arrêt quand bien certains travaux sont en retard et que des dispositions ont été prises pour les accélérer. Le ministre qui s’exprimait lors d’une visite dans certaines unités relevant de son département, a dit que pour faire face aux difficultés qui empêchent l’avancement des travaux, il s’est réuni avec les ingénieurs et les responsables des projets qui connaissent des retards avec lesquels il a évoqué les solutions à entreprendre pour faire avancer ces projets. Ould Taleb Amar a ajouté que son département a assuré l’approvisionnement en eau potable des centaines de localités rurales et semi-urbaines et a réalisé plus de 200 000 raccordements domestiques.
Le Calame - A Kiffa, une des plus grandes villes de Mauritanie, la soif est une équation récurrente. Un problème d’insuffisance de l’approvisionnement en liquide vital qui touche également de nombreuses autres localités dans les régions de l’Assaba et du Guidimakha. Face à cette situation, le gouvernement a élaboré et mis en œuvre le Projet d’Approvisionnement en Potable de la Ville de Kiffa à partir du fleuve Sénégal. Ainsi, le Conseil des Ministres du mercredi 07 juin 2023 a examiné et adopté, un projet de loi portant approbation d’une convention de crédit d’un montant de 30 millions de dollars us, signée entre le gouvernement mauritanien et le Fonds d’Abu pour le Développement, le 02 mai 2023, destinée à la participation au financement de ce projet, selon le communiqué publié à l’issue de la réunion.
Sahara Médias - Le gouvernement mauritanien a décidé ce mardi le début d’une campagne pour l’immatriculation des tricycles pour le transport des personnes au niveau urbain et a annoncé également l’organisation d’une campagne de contrôle la semaine prochaine à l’issue de laquelle les tricycles en infraction seront immobilisés. Le communiqué publié par le ministère de l’équipement et des transports révèle l’ouverture aujourd’hui de guichets pour les tricycles au niveau des directions régionales du groupement général pour la sécurité routière (GGSR). Il appelle les propriétaires des tricycles à se rendre auprès de l’un des guichets ouverts au niveau des directions régionales du GGSR pour achever les formalités d’immatriculation, munis des documents nécessaires pour cela.
La Dépêche - Depuis l’accident d’arrachage de la piste de l’aéroport de Nouadhibou et les conclusions auxquelles a abouti la commission conjointe d’évaluation de l’état de dégradation de la piste, composée de représentants de l’ANAC (Agence nationale de l’aviation civile) et du LNTP (Laboratoire national des travaux publics), évoquant un risque majeur de l’utilisation de cette aire d’atterrissage, les autorités aéroportuaires devraient prendre toute leur responsabilité pour éviter une catastrophe humaine. De l’avis de connaisseur, aucune étude de sol sérieuse n’a jamais été faite sur l’aéroport de Nouadhibou. Une aéroport qui pourtant accaparait une part importante du trafic aérien. De l’avis de ces experts, « les mesures de déflexion n’apportent strictement rien ». Ils prônent, par contre, d’engager « une campagne sérieuse, pour avoir la portance du sol » conseillant pour cela de « faire des sondages carottées sur au moins 20 m de profondeur ( 4 sondages le long de la piste ) avec SPT tous les mètres), des sondages pressiométriques sur 20 m ( 4 le long de la piste ), des essais au laboratoire classique, en plus des essais mécaniques obligatoires (TRIAXIAL, cisaillement, odomètres) et une recherche de carrière d’emprunt.
AMI - Le Premier ministre, M. Mohamed Bilal Messaoud, a présidé, lundi à Nouakchott, une réunion du comité ministériel chargé de faire face d’urgence aux effets dévastateurs des pluies. Au cours de la réunion, des présentations ont été faites sur les problèmes d’égouts à l’échelle nationale et les solutions sectorielles proposées pour faire face aux dommages pouvant être causés par les pluies et qui sont susceptibles de perturber le niveau des eaux usées et le mode de vie des citoyens, en particulier, dans les zones urbaines et semi-urbaines. Le comité ministériel a recommandé, après examen et délibération, d’accélérer la mise en œuvre des propositions de certains comités techniques qui ont recommandé de relier certaines zones souffrant d’affaissements topographiques des sols à la capitale, en les intégrant dans le système de drainage des eaux pluviales de la ville de Nouakchott, et le renforcement du système d’aspiration des eaux de pluies dans d’autres régions.
Sahara Médias - Les autorités de la ville de Nouadhibou ont annoncé mercredi la mise en place d’un plan destiné à faire face aux prochaines pluies attendues au cours des prochaines 24 heures. Ce plan élaboré lors de la réunion du comité régional pour la gestion des crises et de réponse aux catastrophes naturelles, présidée par le wali de Dakhlet Nouadhibou, Mahi O. Hamed, prévoit un ensemble de dispositifs, dont notamment la création d’une cellule d’éveil chargé d’évaluer les risques et de mettre fin à l’occupation illégale des espaces publics. Cette réunion fait suite à une circulaire du ministère de l’intérieur et de la décentralisation relative à l’activation des mécanismes de coordination et de prévention destinés à faire face aux urgences suivant les prévisions météorologiques.
Afrimag - Au nord de la Mauritanie, la désertification du Sahara fait place à des centaines de petites îles, à des eaux côtières peu profondes et à une biodiversité marine et aviaire d’une extrême diversité. S’étendant sur 12075 km2 au bord de l’océan Atlantique, le Parc national du Banc d’Arguin (PNBA) est un lieu d’hivernage majeur pour plus de 3 millions d’oiseaux qui rejoignent chaque année les vasières de la région afin de s’y rencontrer et de s’y reproduire. Pélicans, cormorans, hérons ou encore spatules peuvent être observés en abondance au sein de ce site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, au même titre que les phoques, les dauphins et les baleines.
Le Quotidien de Nouakchott - Le ministre de l’Habitat et de l’Aménagement du territoire Sid’Ahmed Ould Mohamed avance sur son projet inédit de construction d’école des hautes études commerciales de Nouakchott (EHEC). Le ministre vient en effet de retenir l’offre de l’entité locale de génie civil Samco TP pour les travaux de construction d’un devis de 919 millions ouguiya ancienne. La création d’une école de hautes études commerciales, une première en Mauritanie, fait partie des priorités du programme du président Mohamed Cheikh El Ghazouani.
Le Figaro - La Marine nationale a mené au printemps une campagne de levées hydrographiques pour mettre à jour ou créer des cartes marines des principaux ports mauritaniens, afin d'y assurer la sécurité de navigation, a-t-elle annoncé mercredi 17 mai. D'une durée de deux mois, cette campagne a été menée grâce au bâtiment hydrographique (BH) Laplace, à bord duquel avaient pris place onze agents du SHOM (Service hydrographique et océanographique de la Marine). Héritier du premier service hydrographique officiel au monde (1720), le SHOM a la responsabilité de dresser les cartes maritimes dans les eaux sous juridiction française (11 millions km2) mais aussi dans les zones placées sous la responsabilité cartographique de la France, comme la Mauritanie.
La Dépêche - Les services de l’institut mauritanien des recherches océanographiques et des pêches (IMROP) ont récemment découvert la présence au port de Nouakchott d’une microalgue mortelle : Noctiluca scintillans. Le signalement de la présence étrange au port de Nouakchott, le 3 mai dernier, d’une nappe rougeâtre, a permis aux équipes dépêchées sur les lieux de constater ce phénomène rarissime et de procéder à des prélèvements tout en situant son étendue. A ce dernier sujet, la nappe se serait retrouvée au niveau du quai Nord du CTN du PANPA. Les premières versions des enquêteurs de l’IMROP concluent qu’il s’agit d’une forte concentration cellulaire de la microalgue Noctiluca scintillans, « à l’origine de la coloration (orange) observée au niveau de la surface des eaux du port ».
AMI - « La Société nationale de l’Eau (SNDE) a précisé que ses services compétents ont conclu qu’il n’y a pas de pollution de l’eau due à l’observation du changement de couleur et de goût dans deux maisons du quartier de Bouhdida près de « l’école Nayib» dans la moughtaa de Toujounine ». C’est ce qui ressort d’un communiqué de la société parvenu, vendredi à l’AMI, et qui confirme que les analyses ont montré que cette eau est exempte de toute pollution, et que ses spécifications sont conformes aux normes de l’Organisation Mondiale de la Santé, et confirment la présence de dépôts de « chlore », ce qui est une preuve concluante de l’immunisation de ce liquide contre les impuretés nocives et exempte de toute pollution. Voici le communiqué de la SNDE : « Suite à des informations non vérifiées relayées par certains blogueurs concernant l’existence de cas de pollution de l’eau dans l’un des quartiers de la moughataa de Toujounine, wilaya de Nouakchott-Nord, et dans le souci de lever la confusion causée par ces fausses informations, la SNDE soumet à l’attention de ses précieux clients les précisions suivantes :
AMI - La délégation générale de la sécurité civile et de la gestion des catastrophes mauritanienne et la direction générale de la structure nationale de la direction des catastrophes et des crises des Émirats arabes unis ont signé, mardi à Abu Dhabi, un mémorandum d’entente sur la sécurité civile, en marge des travaux du Sommet d’Abu Dhabi sur la gestion des urgences et des crises 2023. Le mémorandum a été signé le général Khatar Ould Mohamed M’barek, délégué général de la sécurité civile et de la gestion des catastrophes de Mauritanie et M. Rached Neyadi, directeur général de la structure nationale et de la direction des catastrophes et des crises des Émirats arabes unis. Ce mémorandum contribuera de manière significative au renforcement de la coopération entre les deux pays dans tous les domaines concernés par la sécurité civile et à la gestion des crises.
« Le Groupe Azalaï, fidèle à sa Politique Sociétale et Environnementale a célébré aujourd’hui "La journée de l'arbre" placée sous le slogan révélateur : 1 collaborateur = 1 arbre. Un rendez-vous à haute portée symbolique pour la planète qui a réuni les collaborateurs de Azalai Hôtel Nouakchott ainsi que les clients pour une journée de plantation d’arbres fruitiers dans l’enceinte de l’hôtel et ses alentours. Depuis sa création, le Groupe Azalaï a développé des valeurs fortes telles que l'humilité, la rigueur, la qualité, l'hospitalité et l'écoute.
En effet, exécuté en deux étapes, le projet a permis dans la première phase, de mettre à disposition du village de Fimbo en général et de la coopérative des femmes Wendou Mbaré (Gorgol) en particulier, de bénéficier d’un forage à pompage solaire. Les résultats observés à ce jour montrent un reverdissement des sols et la régénération du couvert végétal couvert par le forage. On observe une amélioration significative de la production agricole de la coopération et l’introduction de l’arboriculture dans les activités agricoles locales. La deuxième étape a effectivement permis, dans le village de Koumbou, de mettre en défens 5ha de foret comprenant un jardin agro-écologique, un forage à pompage solaire et un système d’irrigation goute à goute dont les effets conduisent ici aussi, à la régénération du couvert végétal renforcé par le reboisement de 250 arbres fruitiers de 5 espèces différentes.
BBC Afrique - Autrefois, la frontière entre le Sénégal et le Mali était source de vie. La Falémé, qui s’étend sur plus de 650 kilomètres entre les deux pays, approvisionnait en eau et poissons les villages le long de ses rives. En saison des pluies, les populations pratiquaient le maraîchage et l’agriculture. Pendant les mois de sécheresse, elles se tournaient vers l’orpaillage artisanal à petite échelle, munies de bassines et de calebasses. "L'eau est polluée" Mais l’expansion de l’exploitation aurifère dans la région a chamboulé le quotidien des riverains. Dans la zone de Saraya, dans le sud-est du Sénégal, la ruée vers l’or commence au lever du soleil.
Le Calame - Le village de Daw (18 km de Maghama), frappé de plein fouet par des intempéries, la semaine dernière attend toujours de pied ferme les premiers secours. Jusqu’à présent aucune aide de l'Etat n’est parvenue aux victimes. Pire, ni les autorités départementales, ni régionales ne se sont rendues à Daw pour s’enquérir de la situation. Et procéder à des interventions rapides de secours aux sinistrés. Pour pallier cette absence criante, les villageois se sont entraidés. Les victimes ont pu être relogées par des voisins. Et les blessés ont été évacués par les moyens de bord vers les structures sanitaires. La situation reste précaire compte tenu de l’urgence.