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Le Calame - Samedi, le 17 Décembre 1976. Il est 05:00 du matin, le premier train minéralier (M3) de la SNIM en direction de Nouadhibou entre dans le chantier de Dhi Bilal (les lacs de Bilal). Un homme, emmitouflé dans son chèche et bien agrippé dans la place spécialement aménagée pour lui permettre de se maintenir en équilibre, tente de percer les ténèbres qui l’entourent malgré la poussière minérale compacte soulevée par le train. Pendant tout le trajet, il était bercé par les claquements et les crissements cadencés des essieux des wagons. C’est le guetteur du wagon d’escorte du train. Tout semble normal. De temps à autre, une voix vient de l’intérieur du wagon blindé demandant s’il n’y a pas du nouveau et la réponse du guetteur reste invariable: RAS (Rien à signaler). Lorsque les locomotives arrivent au niveau de la baraque du gardien du chantier, une formidable explosion se fait entendre et le train commence à perdre de la vitesse avant de s’immobiliser.
Le Calame - Le 12 Janvier 2004- Il manque toujours les mémoires de règne presqu’aussi long que celui du fondateur : ce sont ces années 1980 à 2005 qui ont enfanté le régime actuel et son chef. Les deux synthèses : Juin 1970-Septembre 2001 précédemment publiées avaient succédé à des entretiens avec des co-équipiers du président Moktar Ould Daddah : l’esprit du régime fondateur puis les circonstances de sa chute ont été ainsi résumés. Vingt-et-un ans et deux mois d’histoire nationale. J’entreprends maintenant le bilan des vingt ans et huit mois pendant lesquels le colonel Maaouya Ould Sid’ Ahmed Taya exerça le pouvoir suprême après en avoir très proche depuis le premier putsch (Juillet 1978). D’une grande qualité, deux notes que m’avait communiquées Abdoulaye Baro – en Novembre 2005 – et ma rédaction pour le Quai d’Orsay, en Janvier 2004 autant à la suite de l’énième victoire électorale de l’homme fort, que du décès du Père fondateur, donnent l’impression de l’époque.
Le Calame - Chapitre 6: Djenke au pinacle de la sédition A l’époque du glorieux mouvement patriotique des Kadihines (PKM), au milieu des héroïques années soixante-dix, Djenke la combattante fut l’un des bastions-phares ; fortifié et entièrement sous l’emprise de notre organisation… Ceci, à l’instar de tout le pays. Elle fut la zone maquisarde pratiquement libérée, où le comité d’action révolutionnaire de Boutilimit détenait et maîtrisait l’initiative et à tout moment. Grâce à une structure tentaculaire, une vraie toile d’araignée, extrêmement opérationnelle, aguerrie et rompue aux techniques du maquis inextricable… Nos capacités mobilisationnelles y furent exceptionnellement dynamiques, vigoureuses et promptes. Nos ramifications de base étaient étanches, engagées et résolues. Toute la contrée était conquise et bien acquise aux niveaux évidents et occultes.
Le Calame - Chapitre 7 : Djenke au pinacle de la sédition A l’époque du glorieux mouvement patriotique des Kadihines (PKM), au milieu des héroïques années soixante-dix, Djenke la combattante fut l’un des bastions-phares ; fortifié et entièrement sous l’emprise de notre organisation… Ceci, à l’instar de tout le pays. Elle fut la zone maquisarde pratiquement libérée, où le comité d’action révolutionnaire de Boutilimit détenait et maîtrisait l’initiative et à tout moment. Grâce à une structure tentaculaire, une vraie toile d’araignée, extrêmement opérationnelle, aguerrie et rompue aux techniques du maquis inextricable… Nos capacités mobilisationnelles y furent exceptionnellement dynamiques, vigoureuses et promptes. Nos ramifications de base étaient étanches, engagées et résolues. Toute la contrée était conquise et bien acquise aux niveaux évidents et occultes.
Le Calame - Les traités conclus entre l’Espagne et la France en 1900 et 1902 vont partager la Mauritanie. Leurs prodromes ont, à l’époque, plus d’un siècle, mais ne mettent du côté mauritanien au contact des Européens que les gens de l’Adrar et les tribus le parcourant. Nullement le Maroc. N’ayant eu copie qu’en 2005, de ce mémoire de la République Islamique de Mauritanie devant la Cour de Justice internationale, à La Haye, qui avait reçu mandat de l’assemblée générale des Nations Unies de dire si le Sahara administré par l’Espagne était, avant sa domination, « terra nullius », je n’ai malheureusement pas pu interroger l’auteur de sa plus grande partie ( en comptant les annexes – intégralité des anciens traités – qu’il ne sera pas possible de publier à la suite du mémoire-même) : l’éminent Mohamed Ould Mouloud Ould Daddah et encore moins le très regretté président Moktar Ould Daddah. Le texte est en effet de plusieurs plumes, et l’enquête préliminaire – en cours de publication dans ces colonnes – ne semble pas le fait d’un savant mauritanien : la transcription des noms propres (chefs ou tribus) n’est pas la plus courante. La genèse du mémoire serait intéressante à établir : je n’en ai pas les moyens actuellement.
Adrar-Info - Conceptions ḥassân et zawâya du pouvoir politique dans la société émirale ouest-saharienne avant la colonisation Résumé : Les émirats maures se sont établis, à la fin du XVIIe et au XVIIIe siècle sur la base de l’affirmation des valeurs tribales hassân, guerrières, et en opposition avec les valeurs religieuses assumées par un autre groupe social, celui des zawâya, qui développent une conception islamique du politique. Le règne de l’« émir de la paix », Ahmed Ould M’Hammed, dans la seconde partie du XIXe siècle illustre la perméabilité de ces valeurs politiques, mais aussi les limites de celle-ci.1. A maints égards, dans la galerie des portraits des grands personnages politiques de l’Adrâr, que j’ai contribuée à rassembler, et dont j’ai aussi souvent croqué les traits (Bonte, 1998a), la figure de l’émir Aḥmed Ould M’Ḥammed est bien particulière.
Le Calame - Les recherches faites pour établir la chronologie de l’implantation espagnole au Sahara occidental et les actes juridiques passés à cet effet avec les populations locales, mettent en évidence le rôle et la capacité de deux experts du pays et de sa langue, Bonelli, jeune géographe arabisant et l’ancien consul espagnol à Mogador, José Avarez Perez. Ils font penser à Xavier Coppolani, mais leur démarche est différente : il ne s’agit pas vraiment d’une expansion de la souveraineté, et encore moins de l’administration espagnoles, mais bien d’une organisation commerciale, souhaitée autant par les nouveaux arrivants que par les tribus territorialement concernées : R’gueibats et Ould Delim. Les transcription et orthographe de patronymes ou de titres maures – inusitées – ont été maintenues (v. Ulad pour Oulad, ou Cheik poour Cheikh). Le clavier saisissant le document ne permet pas d’accentuer certains « n » avec la « bastardilla » espagnole, ni de mettre l’accent aigu sur certains « i » ou « a ». Le lecteur scrupuleux, s’il est hispanisant, saura rétablir de lui-même.
Le Quotidien de Nouakchott - Allah Tabaraka Wa Taallah à révélé dans le Coran au Prophète Mohamed (PSL) à travers la sourate les femmes le message suivant : 4|1|O hommes! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d'un seul être, et a créé de celui-ci son épouse, et qui de ces deux là a fait répandre (sur la terre) beaucoup d'hommes et de femmes. Craignez Allah au nom duquel vous vous implorez les uns les autres, et craignez de rompre les liens du sang. Certes Allah vous observe parfaitement Et que dit la science par rapport à ça ?
Le Calame - La période fondatrice fait de plus en plus référence actuellement. Avant d’écrire l’abrégé d’une histoire réconciliée de la Mauritanie (1903 – 2018 ou 2020… selon la date de future parution), je ne crois pas inutile de rappeler la conscience que j’avais du pays il y a cinquante ans et telle que j’avais l’honneur de la dialoguer avec le président Moktar Ould Daddah Bertrand Fessard de Foucault, alias Ould Kaïge Écrit sans titre. Juin 1970 –Après avoir suivi le Conseil national du Parti du Peuple Mauritanien, tenu à Tidjikja. 25 Mars au 3 Avril 1970, puis une tournée présidentielle de prise de contact du 17 au 23 Avril 1970 : Boumdeid, Ould Yenge, Kaédi – pour servir d’introduction à l’anthologie des discours et messages du président Moktar Ould Daddah qui devait être publiée à l’occasion du Xème anniversaire de l’Indépendance
Adrar-Info - Les instigateurs des reformes unilinguistiques post 1978 de l’enseignement et leurs adeptes, s’approprient ces derniers temps, sous le sceau de l’arabisme, arabité et même l’Islam, « le monopole de la pensée » au niveau des espaces médiatiques et politiques pour rejeter tous les maux du pays sur les Mauritaniens Francisants et/ou Francisés et l’ancienne puissance coloniale, la France. Cet égarement intellectuel est très grave. Il crée un cloisonnement frustrant entre les divers citoyens et par conséquent ne sert nullement la Mauritanie. Il est en effet quotidien d’entendre ces nouveaux idéologues qui crèvent les écrans des TV, polluent les pages des journaux et embrouillent les microphones des radios, dire que les pionniers de notre indépendance sont des collaborateurs assujettis aux ordres de la France ; Que les descendants des interprètes, goumiers et autres n’ont pas servi le pays. Que la langue Française doit être proscrite de l’enseignement etc.
Le Calame - Chapitre 5 : Les marginaux dangereux, ineptes et facétieux illustres Comme partout ailleurs, Djenke avait bien ses flopées de marginaux illustres dont des fous en puissance, des clochards ineptes, des canailles bouffonnes et plaisantes ; des vagabonds fripouilles et niais, et surtout, une grande racaille de facétieux et francs farceurs… Elle disposait en même temps d’une marmaille surabondante !! C’était bien celle-là, l’insolente, fugace et fringante, composée d’escadrons de vrais diables, qui affolait les fous avant qu’ils ne le devenaient !! Ces marginaux et autres personnages étaient, pour la plupart, des malades mentaux célèbres par leurs comportements et aspects tantôt rébarbatifs, répugnants ou agressifs… Cependant que d’autres, très nombreux, brillèrent parfaitement par leur jovialité et leur humour irrésistible et innocent. Certains l’avaient été, eux aussi, par leurs imaginations et bizarreries incongrues… En exemples, ont peut bien retenir :
Le Calame - La période fondatrice fait de plus en plus référence actuellement. Avant d’écrire l’abrégé d’une histoire réconciliée de la Mauritanie (1903 – 2018 ou 2020… selon la date de future parution), je ne crois pas inutile de rappeler la conscience que j’avais du pays il y a cinquante ans et telle que j’avais l’honneur de la dialoguer avec le président Moktar Ould Daddah Écrit sans titre. Juin 1970 – Après avoir suivi le Conseil national du Parti du Peuple Mauritanien, tenu à Tidjikja. 25 Mars au 3 Avril 1970, puis une tournée présidentielle de prise de contact du 17 au 23 Avril 1970 : Boumdeid, Ould Yenge, Kaédi – pour servir d’introduction à l’anthologie des discours et messages du président Moktar Ould Daddah qui devait être publiée à l’occasion du Xème anniversaire de l’Indépendance.
Adrar-Info - Entre les années 40 et 70 du siècle dernier, la ville d’Atar vivait le TOP de son épanouissement. Sa position de relais entre le Maghreb méditerranéen et l’Afrique de l’Ouest, via la route transsaharienne Alger – Tindouf- Atar- Saint Louis du Sénégal et les pistes Gleimine Marocain - Villa Cisneros Espagnole – F’Derick -Atar, faisait d’elle une plaque commerciale vivante et une position militaire stratégique évidente. Aux habitants autochtones sont venus s’ajouter des milliers de personnes de diverses nationalités, ethnies, pays et régions. En plus des nombreux commerçants venus du Maroc et travailleurs de l’administration, des sociétés de transport « Lacombe », de construction « La Dumez », d’approvisionnement « Peyrissac » , il y’a 10.000 militaires Français basés à Atar dont la plupart sont des Africains, malgaches, Martiniquais, Indochinois… La ville dispose, dans certains quartiers de l’électricité domestique. Son aéroport reçoit au quotidien les avions de la compagnie Air France, les jets de l’avion privé du pilote Gallouedec, les avions bombardiers « criquets jaunes », les cargo « Le Nord », les hélicoptères et d’autres divers aéronefs.
Le Calame - La période fondatrice fait de plus en plus référence actuellement. Avant d’écrire l’abrégé d’une histoire réconciliée de la Mauritanie (1903 – 2018 ou 2020… selon la date de future parution), je ne crois pas inutile de rappeler la conscience que j’avais du pays il y a cinquante ans et telle que j’avais l’honneur de la dialoguer avec le président Moktar Ould Daddah Bertrand Fessard de Foucault, alias Ould Kaïge Écrit sans titre. Juin 1970
Adrar-Info - Pierre Messmer, ancien administrateur colonial du cercle de l’Adrar mauritanien ( 1950-1952), gouverneur de la Mauritanie (1952-1954) ancien Ministre des Armées ,et Premier ministre de la France a dit : « L’Adrar (et surtout Atar), est le cœur politique de la Mauritanie. L’ile-de-France par rapport à la France, le lieu à partir duquel la République Islamique de Mauritanie s’est peu à peu constituée ». La déclaration de ce Chancelier de l’ordre de la Libération , membre de l’Académie française, prononcée bien avant l’accession de la Mauritanie à l’indépendance nationale, s’est avérée « assertion vraie », scientifiquement parlant. En jetant en effet, un regard rétrospectif sur la vie politique en Mauritanie depuis le retour en France de Pierre Messmer, le constat est évident. C’est en Adrar qu’est né a Atar le 13/09/1916 Sid’El Moctar N’Diaye, le véritable fondateur de la République Islamique de Mauritanie dans ses frontières et indépendance actuelles :
Adrar-Info - Le temps des Prétoriens (1900-1910) – (III) C’est le 9 janvier 1909 à deux heures de l’après-midi que les forces de la colonne Gouraud, parties du Tagant en décembre 1908, entrent à Atar après une progression de plusieurs semaines ralentie par les attaques et coups de main d’une résistance audacieuse. Dans cette dernière partie de sa relation du « temps des prétoriens », l’historien Mohamed Saïd Ould Hamody fait revivre les événements qui ont suivi la chute de la citadelle de l’Adrar. Le même jour les Awlad Entade et Ehel Amar Ould Hawm (deux fractions Ideïchilli) habitant les environs occidentaux d’Atar, proclamèrent leur soumission aux français, mais la situation n’est pas pourtant stabilisée. Comme le reconnaît Gouraud, « l’Emir Ould Aïda et les irréductibles Ouled Gheilane et Trarza dissidents sont maintenant installés près de notre ancien poste d’Akjoujt ».
Le Calame - Chapitre 4 : Le fanal du savoir Depuis très longtemps déjà, la nature aride, précaire et très hostile de notre immense désert, fut exceptionnellement extraordinaire… Elle fut même surprenante, du fait évident qu’on s’y éduquait et s’y cultivait impeccablement bien et, particulièrement en son authentique et très auguste pinacle, Boutilimitt… Cependant que chez nous, broussards de la première heure, et malgré sa logique tranchée, ce paradoxe, fut de tout temps, défié et judiciairement aplani… Quant aux prédispositions morales et matérielles que nécessite, en général, l’acquisition accumulée et patiente du concept du savoir… En ce vaste et terrible espace du néant, infréquentable et sans confins, notre antique et fabuleuse contrée ensablée, fut et demeure sans cesse, destination fatidique. Celle de tous ceux malades, essentiellement de l’ignorance, par carence du savoir, ainsi que d’autres innombrables et désemparés.
Adrar-Info - En guise d’introduction le conférencier a tenu à présenter les remarques suivantes:- l’absence de véritables sources scientifiques et/ou écrites sur telle ou telle période de la vie de la ville et sur les lacunes de l’oralité véhiculées par la tradition et par les griots. Il reste donc de nombreuses choses que la recherche doit apporter. Il faut douter de beaucoup Evénements – a-t-il dit , mais un doute objectif qui vise à mieux s’assurer du fait historique et non un doute pour le rejet et le refus de ce qui ne nous plait pas.- Un effort de dépassement de soi s’impose, un recul par rapport aux évènement historiques, leur vision comme des faits qui n’ont plus de réelles incidences sur notre vie mais qui peuvent par contre expliquer une grande partie de notre vécu. La période coloniale abonde de documents que beaucoup considèrent comme l’histoire de la colonisation en Mauritanie et non l’histoire de la Mauritanie pendant cette période: Les visions divergent sur les contenus de ces documents. Par la suite, le conférencier a défini aussi le plan de son exposé:
Adrar-Info - L’axe de la Culture Comme on le notait dans l’introduction, l’axe de la culture s’est vue notablement amélioré par la nomination de la nouvelle ministre, Mme Hindou Mint Ainina, en janvier 2015 ; auparavant elle occupait le poste de ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères et de la coopération chargée des affaires maghrébines et africaines et des mauritaniens de l’étranger. Sa longue expérience dans les affaires sociales, et sa culture personnelle enrichie par ses apports en langue arabe, en langue pulaar et en langue française, sont des atouts rarement observés dans ce ministère.• Au mois de mai, se sont tenus les Journées de l’artisanat mauritanien au Musée national, sous le patronage du ministère de la Culture et de l’Union européenne, dont le Programme pour la société civile et la culture, dirigé par Patrick Ryckaert. Selon l’affiche de présentation[1] : « Cet évènement important, destiné à la population de Nouakchott, mettra en valeur les actions du Programme pour la promotion, la valorisation et la sauvegarde du patrimoine culturel et artisanat mauritanien, conformément à notre Convention de Financement.
Adrar-Info - Les tensions sociales actuelles et les droits humains Les tensions sociales actuelles restent identiques à celles des années précédentes, elles concernent d’une part la question statutaire, c’est-à-dire la revendication des droits civiques égalitaires des groupes serviles de la société hassanophone du pays, et les revendications d’égalité sociale des Noirs mauritaniens. Dans un entretien avec Thiam Mamadou[1], Sarr Mamadou Moctar, secrétaire du FONADH, principal initiateur des concertations entre les paysans du fleuve et les autorités mauritaniennes a déclaré : « [Dans les faits, le foncier, en Mauritanie, demeure au centre d’enjeux multiples depuis les années 1980]. «Y convergent tous les impératifs nationaux de respect et de consécration des droits humains, de consolidation de l’unité nationale, de renforcement de la cohésion sociale, de promotion de la femme, de gouvernance et de libération des énergies, dans un secteur agricole qui fait vivre plus des deux tiers de la population.