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AMI - Le ministre de la Culture, des Arts, de la Communication et des Relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, M. El Houssein Ould Meddou, a déclaré que la Journée mondiale de la liberté de la presse, célébrée chaque année le 3 mai, n’est pas seulement une occasion de célébration, mais plutôt une occasion de réflexion et d’évaluation, et l’occasion d’affirmer que les libertés d’expression et de la presse sont des piliers indispensables de la construction d’États démocratiques. Ces propos ont été tenus lors de la cérémonie de commémoration de la Journée mondiale de la liberté de la presse, samedi à Nouakchott, sous le thème « L’intelligence artificielle au service de la liberté, du professionnalisme et de la cohésion sociale ». Le ministre a ajouté que le thème choisi cette année pour la commémoration de cette journée représente à la fois un défi majeur et une opportunité rare.
Madar - Les unités de la Gendarmerie nationale de la wilaya de Nouakchott Ouest ont démantelé un réseau spécialisé dans l’importation et la distribution de pilules hallucinogènes. Selon une source officielle, cette opération sécuritaire, commanditée par le chef d’état-major de la gendarmerie nationale, le général de division Ahmed Mahmoud Taya, est intervenue après des investigations minutieuses menées par le bataillon n°1 de la gendarmerie nationale et la brigade de recherche. Le chef du bureau des études et des relations publiques de l’état-major de la gendarmerie nationale, le commandant Mohamed Ould El Hafez Ould Mahmoud, a indiqué que cette opération s’inscrit dans le cadre des efforts déployés par la gendarmerie nationale pour assurer la sécurité, protéger la sûreté publique et lutter contre toutes les formes de criminalité.
La Dépêche - La chute de la Mauritanie de la 33e à la 50e place dans le classement mondial de la liberté de la presse établi par Reporters Sans Frontières ne relève pas d’un effondrement spectaculaire, mais d’un repli d’autant plus préoccupant qu’il s’opère sous couvert d’une apparente continuité. Certes, la Mauritanie conserve, en chiffres relatifs, sa position de première dans le monde arabe, mais cet honneur devient presque ironique lorsque l’on considère l’indice absolu : perdre 17 places en un an dans un domaine aussi central à la respiration démocratique qu’est la presse libre, ce n’est pas simplement glisser — c’est rétrograder dans l’ordre symbolique des nations. Et plus encore, être désormais précédée par l’Afrique du Sud, Gabon, le Cap-Vert ou la Namibie n’est pas un affront, mais une invitation à l’introspection : que s’est-il brisé entre le souffle prometteur d’hier et l’asphyxie relative d’aujourd’hui ?
Africa Top Sports - La Mauritanie perd à nouveau à la Coupe du monde de Beach Soccer. C’était ce samedi soir contre le Portugal. Les Mourabitounes avaient déjà perdu contre 5-4 dans le Groupe B dans le tournoi mondial qui se déroule aux Seychelles. Ils viennent de subir un autre revers contre les Portugais. Face à une équipe du Portugal, qui avait déjà battu le Paraguay, la Mauritanie n’a pas vraiment réussi un grand jeu. Le pays ouest-africain a perdu 8-4.
APANEWS - Près de dix ans après les attentats de Bamako, le Mali inscrit le jihadiste mauritanien Fawaz Ould Ahmed, alias « Ibrahim 10 », sur sa liste nationale de sanctions financières. Condamné à mort en 2020 pour terrorisme, l’homme est désormais visé par un gel de ses avoirs, dans le cadre du renforcement de la lutte contre le financement du terrorisme. Le gouvernement malien a inscrit, par arrêté ministériel en date du 30 avril 2025, le ressortissant mauritanien Fawaz Ould Ahmed, connu sous le nom de guerre « Ibrahim 10 », sur la liste nationale des sanctions financières ciblées. Cette décision, rendue publique au Journal officiel de la République du Mali, intervient près d’une décennie après les attaques sanglantes qui ont endeuillé Bamako en 2015. Selon les autorités maliennes, Ibrahim 10 a participé activement à deux attentats majeurs. L’attaque du restaurant La Terrasse, survenue le 7 mars 2015, et celle de l’hôtel Radisson Blu, le 20 novembre 2015.
SAHARA MÉDIAS - « L’entrée de migrants mineurs en Mauritanie a contribué à la propagation de la mendicité et de la criminalité sous toutes ses formes », a déclaré vendredi la députée du parti Fadhila, Mouna mint Dey, lors d’une séance publique du parlement mauritanien. Au cours de la séance consacrée à répondre aux questions de la députée de l’opposition Kadiata Malik Diallo sur les conditions des migrants en Mauritanie, elle a appelé à « empêcher l’entrée des mineurs en Mauritanie ». « Les prisons mauritaniennes comptent 12% de migrants accusés de crimes graves », a-t-elle déclaré, notant que « les étrangers, en particulier ceux originaires d’Afrique subsaharienne, ont participé à toutes les émeutes et mouvements anarchiques qui ont eu lieu dans le pays ».
AMI - Le ministre de l’économie et des finances, M. Sid’Ahmed Ould Bouh, a présidé, vendredi, à Nouakchott, en compagnie de la commissaire à la sécurité alimentaire, Mme. Fatimetou Mint Khattri, une réunion avec les partenaires au développement de notre pays. La réunion, à laquelle ont participé la Coordinatrice du Système des Nations Unies en Mauritanie, S.E.Mme Leila Peters Yahya, ainsi qu’un certain nombre d’ambassadeurs et de représentants d’organisations internationales accréditées dans le pays, a été consacrée à la présentation et à la discussion du Plan National de Réponse 2025 et au lancement du financement du plan de réponse, qui a été préparé dans le cadre du Mécanisme National de Prévention et de Réponse aux Crises Alimentaires et Nutritionnelles. Dans un discours prononcé à cette occasion, le ministre de l’économie et des finances a expliqué que cette réunion est un outil essentiel pour mobiliser des ressources dans la lutte de notre pays contre l’insécurité alimentaire et la malnutrition, notant que ce plan, préparé avec une large participation et sous l’égide du comité ministériel en charge de la programmation alimentaire, incarne la solidarité nationale et la détermination du gouvernement à protéger les groupes les plus vulnérables.
HESPRESS - Le débat se poursuit autour des retards enregistrés dans le passage des camions transportant des marchandises à destination de l’exportation au port de Tanger Med. De nombreux professionnels du secteur désignent comme principal facteur de blocage l’arrivée massive des camions chargés de pastèques en provenance de Mauritanie et acheminées vers l’Europe. Selon des sources professionnelles, plusieurs dizaines de camions transportant des pastèques mauritaniennes affluent chaque jour vers le port de Tanger Med. Cette situation ne fait qu’aggraver les difficultés de circulation déjà ressenties depuis plusieurs jours, en raison des perturbations météorologiques ayant entraîné la suspension du trafic maritime entre le Maroc et l’Espagne. Des opérateurs du transport international ont fait part de leur exaspération face à ces retards, qui entravent sérieusement l’exportation de marchandises vers l’autre rive de la Méditerranée.
Shems Maarif - La santé publique en Mauritanie est aujourd’hui plus que jamais en danger. La prolifération de la contrebande de médicaments, de produits alimentaires périmés ou de qualité douteuse, ainsi que la faiblesse des contrôles sanitaires, constituent une menace sérieuse pour la population. Selon plusieurs sources locales, le risque de voir des maladies graves se développer à cause de cette situation est désormais une réalité tangible. Une situation alarmante due à la « pagaille » dans la sécurisation des produits La Mauritanie traverse une crise sanitaire liée à la circulation incontrôlée de produits non conformes. La contrebande de médicaments, souvent de provenance incertaine, alimente un marché parallèle où la qualité et la sécurité ne sont pas garanties. Des médicaments périmés ou contrefaits, vendus dans des marchés informels ou par des vendeurs non certifiés, risquent d’aggraver des pathologies déjà existantes ou d’en provoquer de nouvelles.
SAHARA MEDIAS - Lors d’une séance publique du parlement vendredi, consacrée à une question orale adressée au ministre mauritanien de l’intérieur Mohamed Ahmed Mohamed Lemine, la députée Kadiata Malick Diallo a affirmé que les migrants irréguliers qui ont été expulsés de la Mauritanie ont fait l’objet de mauvais traitements. Mme Diallo a expliqué que sa question ne portait pas sur la politique anti-immigration, mais sur les conditions d’expulsion des migrants, soulignant qu’elle n’est pas contre les politiques de lutte contre la migration irrégulière, ni contre l’expulsion des migrants irréguliers. Elle a expliqué que sa question portait sur les conditions qui caractérisent l’expulsion des migrants en situation irrégulière, soulignant que personne ne peut mettre en doute sa citoyenneté.
AMI - L’Assemblée nationale a tenu, vendredi matin, une séance sous la présidence de M. Ahmadou Mohamed Mahfoudh Mbala, deuxième vice-président de l’Assemblée, pour entendre les réponses du ministre de l’intérieur, de la promotion de la décentralisation et du développement local, M. Mohamed Ahmed Mohamed Lemine, à une question orale, assortie d’un débat, qui lui a été adressée par la députée Kadiata Malik Diallo. Dans sa question, la députée affirme que « le gouvernement a commencé à expulser des étrangers des frontières de notre pays, sous prétexte qu’ils sont en situation irrégulière », citant de nombreux témoignages de violations des droits des migrants originaires de pays africains frères. Elle s’interroge sur la justification de ces violations et sur les mesures prises par le gouvernement pour mettre fin à ce phénomène.
Sahara Médias - Le député Mohamed Bouya Ould Cheikh Mohamed Fadhel a qualifié de « suspect » l’accord migratoire signé entre la Mauritanie et l’union européenne et a appelé vendredi à son annulation. Lors d’une séance publique du parlement mauritanien consacrée à la question de la migration irrégulière, Ould Cheikh Mohamed Fadel a souligné la nécessité d’« expulser tout étranger en situation irrégulière ». Dans le même ordre d’idées, il a appelé à « présenter des excuses et à indemniser tout Mauritanien arrêté dans le cadre de la lutte contre la migration irrégulière, et à sanctionner tout agent de sécurité ayant offensé un Mauritanien ».
AMI - La 83ème session ordinaire de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP) a démarré, vendredi, dans la capitale gambienne, Banjul, avec la participation d’une délégation de notre pays conduite par le commissaire adjoint aux droits de l’homme, à l’action humanitaire et aux relations avec la société civile, M. Rassoul Ould El Khal. Dans une allocution prononcée lors de la session, le commissaire adjoint a expliqué que le gouvernement mauritanien poursuit ses efforts inlassables, aux niveaux international et régional, pour contribuer efficacement à la recherche de solutions aux différents foyers de conflits dans le monde, notamment ceux de notre voisinage régional, par l’accueil et l’hébergement des personnes déplacées et des demandeurs d’asile, et par la mise en œuvre d’une approche sécuritaire globale qui a permis de lutter contre le terrorisme, l’extrémisme et la criminalité transnationale organisée. Il a déclaré que la situation des droits de l’homme dans notre pays a connu de grandes avancées au cours de l’année écoulée, avec le renforcement des acquis nationaux dans le domaine de la construction d’un État de droit et d’institutions et la consolidation des valeurs de la démocratie, des droits et des libertés.
Onde Info -- Tandia Moussa, diplômé en Langue et Littérature françaises ( maîtrise), option sociolinguistique est désormais rédacteur en chef de la rédaction francophone de Radio Mauritanie. En réalité, il est depuis presque vingt ans, si ce n’est plus la cheville ouvrière de cette rédaction. TANDIA Moussa est surtout un professionnel de l’ombre, travaillant dans la discrétion. Il n’a jamais cherché à plaire, à impressionner ou à se présenter pour ce qu’il n’est pas. D’une manière ou d’une autre a accueilli, accompagné, et même encadré de nombreuses voix devenues notoires , et ayant eu une audience favorable au sein des auditeurs. Ce que l’auditeur ne voit pas, ce que l’auditeur n’entend pas, c’est souvent le travail remarquable de l’homme.
SAHARA MEDIAS - Le Parti mauritanien « El Islah » (réforme) a appelé à l’affectation d’un pourcentage des bénéfices nets des entreprises pour les convertir en actions à détenir par leurs travailleurs, dans un communiqué publié jeudi à l’occasion de la fête du travail. Le communiqué, dont Sahara Media a reçu une copie, se lit comme suit : « Nous insistons sur la nécessité pour les travailleurs de bénéficier de la souscription d’un pourcentage significatif d’actions dans le capital des entreprises et institutions dans lesquelles ils travaillent, afin qu’ils deviennent propriétaires de certaines actions qui continuent à générer des rendements même après la retraite. » Le parti a fait l’éloge de ce qu’il a décrit comme les gains réalisés par les travailleurs au cours du premier mandat présidentiel du président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, exprimant son espoir que le mandat actuel verra « davantage de mesures incitatives » en faveur des travailleurs et des retraités.
Le360 Afrique -- Les incertitudes entourant la croissance de l’économie mondiale se multiplient, selon le Fonds monétaire international (FMI) qui vient de publier ses perspectives économiques pour les années 2025 et 2026. En Afrique, les chocs exogènes, l’endettement élevé et plus récemment les droits de douane annoncés par les Etats-Unis constituent les risques qui planent sur la croissance. Quoi qu’il en soit, neuf pays devraient suivre une trajectoire positive avec des croissances supérieures à 6% aussi bien en 2025 qu’en 2026. La palme devrait revenir à la République de Guinée. En 2025, l’économie mondiale devrait croître de seulement 2,8% selon les estimations du FMI, une valeur revue à la baisse de 0,5 point par rapport à la précédente estimation de janvier dernier. Une situation qui s’explique par la détérioration de la conjoncture économique mondiale durant cette période à cause des incertitudes liées particulièrement au retour du protectionnisme.
Sahara Médias -- L’ambassade de Mauritanie en Arabie Saoudite a appelé les étudiants mauritaniens désireux de s’inscrire dans les établissements d’enseignement supérieur du Royaume pour la prochaine année académique à déposer leurs dossiers à travers la plateforme « Study ». L’ambassade précise dans un communiqué, dont Sahara Media a reçu une copie, que les dates de dépôt des dossiers débutent dès le 1er mai pour les étudiants de premier cycle originaires de l’extérieur du Royaume et se poursuivent jusqu’au 14 juin, alors que la période de dépôt des dossiers pour les études de troisième cycle s’étend jusqu’à la fin du mois d’octobre. Selon le communiqué, les dates d’inscription pour les étudiants du Royaume commencent entre la mi-juin et la fin juin pour les étudiants de premier cycle, et entre le 10 mai et la fin octobre pour les études de troisième cycle.
Le Quotidien de Nouakchott -- À l’occasion de la Journée internationale du travail, le ministre de la Fonction publique et du Travail, M. Mohamed Soueidatt, a prononcé un discours ambitieux, saluant les « mutations historiques » engagées sous l’impulsion du président Mohamed Cheikh El Ghazouani. Toutefois, derrière les annonces de progrès, les réalités contrastées du monde du travail mauritanien rappellent les défis persistants. Un discours optimiste : hausses salariales et réformes structurelles Dans son allocution, M. Soueidatt a mis en avant les « acquis qualitatifs » du premier mandat du Président El Ghazouani, notamment : -Une augmentation de 50 % du salaire minimum (le plus important ajustement depuis des décennies) ; -plus 20 000 anciennes ouguiyas pour les salaires des fonctionnaires civils et militaires ;
EN BREF | #Cridem – Le président Ghazouani a nommé Messaoud Ould Boulkheir, président de l’Alliance Populaire Progressiste (APP), comme président du Conseil économique, social et environnemental (CESE). C’est ce qui ressort d’un décret présidentiel publié, ce vendredi 2 mai 2025. Par ailleurs, Mohamed Abdallahi Ould Siyam est également nommé vice-président du conseil économique, social et environnemental (CESE).
RFI - Israël a mis sa menace à exécution contre la Syrie en bombardant, vendredi 2 mai, autour du palais présidentiel à Damas après que le chef de la minorité druze, protégée par le pouvoir israélien, a accusé le pouvoir du nouveau président syrien Ahmed al-Charaa de « génocide ». La présidence qualifie la frappe israélienne de « dangereuse escalade ». La présidence syrienne a qualifié ce vendredi la frappe israélienne menée à l'aube près du palais présidentiel de Damas de « dangereuse escalade ». La présidence « condamne avec la plus grande fermeté la frappe qui a visé le palais présidentiel, menée par l'occupation israélienne », a déclaré le communiqué, ajoutant qu'elle « constitue une escalade dangereuse contre les institutions de l'État et sa souveraineté ». Le plus influent chef religieux druze en Syrie, cheikh Hikmat al-Hajrin, avait dénoncé, jeudi 1er mai dans la soirée, une « campagne génocidaire injustifiée » visant des « civils » de sa communauté, après des affrontements confessionnels en début de semaine qui ont fait plus de 100 morts, selon une ONG.