Pour S'authentifier veuillez fournir votre Pseudo et Mot de passer et cliquez sur : Se connecter
UNPM - Encore, une fois, Monsieur le Premier Ministre a convoqué le 2ème Vice-président et quelques Présidents de Fédérations Professionnelles de I'UNPM, pour les inciter à se désolidariser du Président de l'Union Nationale du Patronat Mauritanien, en disant que le communiqué publié le 21 juin 2016, par I'UNPM, n'a pas été évoqué lors de la réunion du Comité Exécutif de l'Union, en date du 20 juin 2016, contrairement au contenu du procès verbal N° 03-2016, de la réunion précitée du Comité Exécutif. En tout état de cause, le Président de I'UNPM étant, statutairement, son seul représentant légal, tout autre communiqué, de surcroît, fait sous la pression, ne saurait engager I'Union Nationale du Patronat Mauritanien. Nouakchott.,le 22 juin 2016 Pour l'Union Nationale du Patronat Mauritanien (UNPM)
Sahara Medias - Dans un communiqué commun publié ce mardi, des centrales syndicales ont demandé au gouvernement de respecter la liberté syndicale telle que garantit par les accords internationaux, accusant le gouvernement d’œuvrer au limogeage du président de l’union du patronat mauritanien. Ces syndicats ont renouvelé leur soutien au président de l’UNPM, Ahmed Baba O. Ezizi considérant que l’immixtion de l’état dans les affaires des syndicats est contraire aux principes de l’état de droit et constitue une atteinte à la paix sociale dans le pays. Les 5 centrales syndicales signataires de ce communiqué émettent l’espoir que le gouvernement contribue au renforcement des capacités des partenaires sociaux afin qu’ils puissent jouer le rôle qui leur est dévolu dans le développement économique et social du pays.
CLTM - Dès le début du conflit opposant la société KINROSS TASIAST et ses travailleurs, la CLTM n’a cessé d’appeler au dialogue, à la concertation, à plus d’ouverture et de flexibilité en vue d’un règlement du conflit de manière à préserver les intérêts de toutes les parties. Les délégués du personnel ont également montré une bonne prédisposition pour le dialogue. Les autorités mauritaniennes ont pour la première fois joué l’arbitrage et assuré le respect de la loi et des règlements. En dépit de tout cela nous enregistrons des attitudes toujours négatives de la part de KINROSS et comportement nocif qui se caractérisent par notamment l’unilatéralisme, la violation des droits des travailleurs, des lois et règlements en vigueur avec un entêtement sur mesuré nourri d’une idéologie de haine et de mépris pour les nationaux.
CGTM - Les organisations syndicales signataires de la présente déclaration ( CGTM-CLTM-CNTM-ULTM UGSPM) dénoncent les immixtions graves dans les affaires syndicales dont sont victimes les organisations patronales professionnelles à travers une opération d’ingérence ouverte dans la gouvernance de l’Union Nationale du Patronat Mauritanien, opération visant à destituer son président légalement élu Monsieur Ahmed Baba Ould Azizi et ce au moment où les partenaires sociaux, que sont le Gouvernement, le Patronat et les Centrales syndicales de travailleurs ont entamé un dialogue social ouvert le 27 mai 2016. Cette immixtion est apparue au grand jour depuis que les membres d’autres corps de l’Etat dont les vocations sont du ressort d’autres domaines de la vie nationale, ont été propulsés et imposés pour prendre la direction des fédérations professionnelles patronales nationales. Devant le refus catégorique de l’actuel président de l’UNPM de cautionner cette ingérence inacceptable de l’Etat dans la légitimité des organisations syndicales professionnelles d’employeurs, que la destitution de ce dernier a été posée au grand jour par le gouvernement qui ne ménage aucun effort pour y parvenir.
Zahraa - Le leader syndicaliste Ould Saleck déconseille les inspections de travail sélectives et isolées, appelant à généraliser les contrôles professionnels à toutes les sociétés et entreprises qui opèrent dans le pays. Les travailleurs étrangers sont présents dans tous les domaines d’activité, sans qu’ils soient soumis à la loi de la part des autorités habilitées a indiqué le secrétaire général de la confédération. Le contrôle ne peut servir d’Epée de Damoclès brandie sur une société précise, mais plutôt une loi applicable à toutes les entreprises sans distinction aucune.
Le Calame - La Confédération Générale des Travailleurs de Mauritanie (CGTM) dénonce « la volonté cesse renouvelée des pouvoirs publics de s’immiscer» dans le fonctionnement interne de l'Union Nationale du Patronat de Mauritanie (UNPM)-le principal collectif des employeurs du pays, dans une déclaration rendue publique samedi. Depuis plusieurs mois, la presse mauritanienne évoque des informations faisant état de la volonté du pouvoir de chasser de la tête de la principale organisation patronale l’actuel président, l’homme d’affaires Ahmed Baba Ould Azizi. Ainsi, cette semaine, un organe de la presse en ligne a rapporté des propos très durs qu’aurait tenus le premier Ministre, Yahya ould Hademine, attaquant le président de l’UNPM, à l’occasion d’un dîner de rupture du jeûne auquel ce dernier n’était pas présent.
CGTM - La presse en ligne a relayé ces derniers jours, des informations de plus en plus alarmantes relatives à la volonté sans cesse renouvelée des pouvoirs publics de vouloir s’immiscer dans le fonctionnement interne dune organisation syndicale patronale nationale en l’occurrence l’Union Nationale du Patronat Mauritanien (UNPM), et ce en violation flagrante de la Constitution de l’Organisation internationale du Travail (OIT). Cette ingérence remonte déjà à quelques mois, lors des renouvellements des instances statutaires de certaines fédérations professionnelles patronales, à l’issue de leur congrès, aux fins d’imposer le choix de candidats suscités et soutenus par l’Etat, à la présidence de ces fédérations et ceci en violation de l’article 3, alinéas 1 et 2 de la Convention n° 87 sur la liberté syndicale de l’OIT qui dispose : Les organisations de travailleurs et d'employeurs ont le droit d'élaborer leurs statuts et règlements administratifs, d'élire librement leurs représentants, d'organiser leur gestion et leur activité, et de formuler leur programme d'action. Les autorités publiques doivent s'abstenir de toute intervention de nature à limiter ce droit ou à en entraver l'exercice légal.
Le Calame - La Mauritanie souffre cruellement d’un criant manque de volontaires étrangers, en dépit de l’offre et des opportunités. « L’attractivité du pays pose problème », a révélé la journée de sensibilisation de la presse mauritanienne sur le volontariat, organisé par France Volontaires, le 2 Juin dernier, à Nouakchott. Le recours à des volontaires nationaux palliera-t-il à cette carence ? Un projet de loi sur le volontariat sera proposé au gouvernement mauritanien, d’ici la fin de l’année, pour bien structurer le Corps national de jeunes volontaires qui prend forme et intéresse de plus en plus de jeunes, dans tout le pays. Six cents candidats ont été ainsi répertoriés dans la base de données du Programme National de Volontariat de Mauritanie (PNVM). Sélectionnés, après entretien, certains sont actuellement en service auprès de structures nationales ou internationales qui en ont exprimé le besoin.
Association Houboul Watane - Du 19 au 23 Mai dernier, l’association HOUBOUL WATANE en partenariat avec l’Etat allemand à travers son intermédiaire la GIZ, ont organisé un atelier d’échanges entre les élus locaux, les Organisations de la Société Civile (OSC), et les jeunes de la commune de Bababé sous le thème Jeunesse et développement local durable. Cette activité s’inscrit dans le programme Bonne Gouvernance de la GIZ. Cette rencontre visait trois objectifs, sensibiliser la commune sur le rôle que peuvent jouer les associations dans le développement communal, sensibiliser les associations sur rôle de la commune et enfin promouvoir la parité dans les instances de décisions. Ces échanges se sont concrétisés par la signature d’un protocole d’accord entre la mairie et les OSC de la commune, ce qui permettra aux OSC d’être plus légitimes lors de leurs futurs échanges avec la commune et d’être assurés que la Mairie de Bababé considère important d’impliquer la société civile dans les décisions communales.
L'Authentique - Finalement, ni le plaidoyer de la société civile mauritanienne ni les pressions internationales pour amener la Mauritanie à respecter les termes de sa propre Constitution et la législation internationale en matière de liberté d’association ne semblent avoir fait plier le gouvernement. La balle est aujourd’hui dans le camp du Parlement mauritanien qui doit rejeter le projet de loi que le gouvernement vient de lui soumettre pour approbation. Dans un communiqué conjoint, plusieurs ONG nationales et internationales estiment que « la nouvelle loi compromettra l’exercice du droit à la liberté d’association » reconnu pourtant par la Constitution mauritanienne dans son article 10 et les conventions internationales ratifiées par la Mauritanie. Cette loi une fois votée, selon Amnesty International ainsi que la vingtaine d’organisations qui ont signé le communiqué de protestation, la Mauritanie se singularisera sur le plan mondial, comme l’unique pays qui oblige les associations au régime de l’autorisation étatique préalable.
CGTM - En ce dimanche, 29 mai 2016, la classe ouvrière et les travailleurs et travailleuses de notre pays se remémorent leurs martyrs tombés sous les balles à Zouerate en 1968. Cette journée du 29 mai a été le témoin de la répression sauvage et aveugle que la soldatesque du pouvoir d’alors, avait, de connivence avec la société des mines de fer Miferma dont les intérêts étaient de toujours continuer à exploiter les travailleurs mauritaniens sans aucune contrepartie qui constituent leurs droits. Cette exploitation de l’homme par l’homme a été vécue dans leur chair par les ouvriers valeureux précurseurs de l’économie nationale embryonnaire d’alors, et ont dû consentir des sacrifices ultimes pour frayer la voie dorée mais rougie de sang, au syndicalisme mauritanien.
CLTM - La CLTM, suite à sa mise au point en date du 23/05/2016, relative à une publication du Journal HORIZON d’une déclaration attribuée à tort à la CLTM, vient de recevoir l’excuse du journal HORIZON qui estime qu’il s’agissait d’une malencontreuse erreur de traduction de l’arabe vers le français le nom d’une autre organisation. Ceci étant, la CLTM accepte l’excuse et déclare clos le conflit suscité par cette malencontreuse erreur. Pour la CLTM Le service de communication
CGTM - Les Travailleurs de Kinross Tasiast observent depuis le 24 mai une grève illimitée pour réclamer la satisfaction des revendications contenues dans la plateforme revendicative déposée en juillet dernier par les délégués du personnel et que la direction de l’entreprise avait suggéré de négocier au cours de l’élaboration prévue dès le début de l’année en cours de la future convention collective d’établissement avant de revenir sur ses engagements en tentant d’imposer son propre agenda violant ainsi le droit à la négociation collective consacré par la législation nationale et les conventions internationales. Le mouvement de grève à été largement suivi et a paralysé complètement les activités de l’entreprise notamment au niveau de l’usine et autres ateliers où les travailleurs se sont rassemblé pour exprimer leur mécontentement face à la décision unilatérale prise par la direction de la société minière dont l’objectif est de remettre en cause les droits acquis des travailleurs ce que ces derniers considèrent comme un acte de provocation et une violation flagrante des dispositions législatives en vigueur dans le pays. Ces violations se sont traduites par l’empêchement des travailleurs qui étaient en récupération à Nouakchott d’accéder à leur lieu de travail afin manifestement de les dissuader de participer à la grève ainsi que le remplacement des travailleurs en grève licite par les employés des entreprises d la sous- traitance et les expatriés ce qui constitue une violation notoire des dispositions pertinentes du Code du travail concernant l'exercice du droit de grève que la société ne cesse de prôner le respect.
CLTM - La CLTM après avoir pris connaissance de la réponse de la Direction générale de Kinross à la lettre du Secrétaire Général de la CLTM, Samory Ould Beye, du 19 mai 2016, adressée au PDG de Kinross relative à la situation du conflit opposant Kinross et leurs travailleurs, estime que certains signes contenus dans cette réponse peuvent être considérés comme encourageant pour une reprise de négociation entre les deux parties. La CLTM souhaite que ces signes positifs puissent faire bouger les lignes par un rapprochement de positions qui à terme, conduiront à une reprise rapide des négociations que les délégués du personnel ont toujours réclamé et continuent de réclamer. La CLTM reste convaincue que seule la voie du dialogue franc et constructif peut permettre un accord consensuel acceptable, prenant en compte les intérêts des deux parties.
CLTM - La CLTM, qui suit attentivement le déroulement de la grève des travailleurs de Kinross Tasiast, se félicite du succès de la grève entamée depuis hier nuit et qui est suivie à 99%. La CLTM invite les travailleurs à rester unis et solidaires jusqu’à l’aboutissement de leurs doléances légitimes. Vive l’unité des travailleurs. Vive le mouvement syndical.
CLTM - Le journal Horizons dans son édition N° 6772 du vendredi 20 et samedi 21 mai 2016, dans sa page N°5 publie soit disant une déclaration critiquant le rapport préliminaire du rapporteur spécial des Nations Unies qu’il attribue à la Confédération Libre des Travailleurs de Mauritanie (CLTM). La CLTM face à ce genre de pratiques graves, malsaines et ignobles, tient à préciser ce qui suit : la CLTM n’a rien n’avoir avec cette déclaration qui est fabriquée de toute pièce et attribuée malhonnêtement à notre organisation ; les positions de la CLTM et de ses dirigeants sont connues de tous, aussi bien au niveau national qu’au niveau international, ayant introduit plusieurs plaintes contre le gouvernement mauritanien pour ces mêmes faits évoqués clairement et courageusement par le rapporteur des Nations Unies que nous en félicitons, car il s’agit là des vérités qui méritent d’être exhibées et soutenues par des actions réelles au niveau national comme au niveau international en vue d’une Mauritanie égalitaire et juste, afin que les victimes (harratines) de cette situation puissent jouir de tous leurs droits ;
Culturim - Cet appel a été lancé le 20 Mai dernier à Nouakchott, à l’issue d’une formation organisée par le PESCC sur les "Politiques, stratégies et acteurs dans le secteur de l’Education en Mauritanie" à l’Université Intercontinentale libre de Nouakchott. Lors du lancement de cette formation, le lundi 16 Mai, Patrick Ryckaert, Coordinateur du PESCC, a rappelé que le module "Politiques, stratégies et acteurs dans le secteur de l’Education en Mauritanie" s’inscrivait dans l’atteinte des objectifs de l’éducation pour tous en Mauritanie. "Le gouvernement a mis en œuvre une politique nationale dans le domaine de l’éducation. Cette politique nationale s’inscrit dans un cadre de lutte contre la pauvreté. Il est important pour les OSC qu’elles puissent participer à la définition des politiques publiques et des propositions qu’elles peuvent apporter pour pouvoir lutter contre le non-accès à l’éducation de base, à l’éducation universelle", a expliqué M. Ryckaert.
Délégués Tasiast - En réaction à la communication interne du 17/05/2016 liée à la mise en œuvre de la réduction des coûts de la main d’œuvre, les Délégués du personnel de Kinross Tasiast Mauritanie ont le plaisir d’apporter les précisions suivantes : • Nous comprenons et partageons les motivations de la direction de vouloir conserver un outil de production fiable et performant et souscrivons entièrement à l’idée de l’amélioration bénéfique des conditions de travail au sein de l’entreprise, mais nous attirons l’attention de la direction que des modifications de cette ampleur et de cette taille ne sauraient être le fruit d’une décision unilatérale, mais plutôt d’une négociation et d’un engagement consensuels entre employeur et employés. • Dans tous les cas, nous tenons la direction de l’entreprise et particulièrement Mr Raitt Marshall pour responsable de la dégradation du climat social qui résultera de la prise de façon unilatérale de cette décision illégale et illégitime et rappelons au passage que depuis l’acquisition de la mine par Kinross, la situation sociale au sein de l’entreprise connait régulièrement des perturbations.
Culturim - La PESCC a lancé ce lundi 16 Mai, à l’Université intercontinentale libre de Nouakchott, une formation pour les organisations socioprofessionnelles de l’artisanat d’Aïoun, d’Atar, de Boghé, de Kaédi, de Nouadhibou et de Nouakchott. La formation porte sur la thématique "Dialogue et Plaidoyer" et vise à renforcer les capacités des organisations de la société civile. Il s’agit, comme l’a expliqué Patrick Ryckaert, coordinateur du PESCC, d’appuyer en d’autres termes, "le rôle de la société civile pour améliorer les politiques publiques dans le domaine de l’artisanat". "L’artisanat, a-t-il expliqué, est un des pans les plus importants pour le commerce et le développement du pays. Il est important pour les artisans de participer dans ce sens à la mise et en place et à la définition des politiques de développement".
CGTM - En réaction à la communication interne de la direction de Kinross Tasisat Mauritanie en date du 13/05/2016 relative à l’élaboration d’une nouvelle convention collective d’entreprise, les délégués du personnel ont le plaisir d’apporter les précisons suivantes : Pour lever toute équivoque, il y a lieu de préciser tout d’abord que la convention collective d’établissement TMLSA de 2012 ne pouvait jamais être dénoncée, car il s’agissait d’une convention conclue pour une durée déterminée qui arrivant à terme, elle a cessé de produire ses effets. Il y a lieu de rappeler également qu’il est de notoriété publique que le droit de la négociation collective est conçu comme un droit appartenant aux seuls travailleurs et corrélativement comme une obligation de l’employeur.