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AMI - «Nous réussirons, avec l'aide d’Allah, à promouvoir un développement durable dans lequel les femmes jouent pleinement leur rôle» c’est ce qu’a affirmé la Première Dame, Dr Mariem Fadel Dah, qui a déclaré être certaine que notre pays réussira, dans sa quête pour soutenir un développement durable dans lequel toutes les formes de discrimination fondées sur le sexe seront éliminées. Dans un discours prononcé à l'occasion du lancement de la deuxième phase du projet pour l'autonomisation des femmes et de dividende démographique, elle a ajouté que tous (autorités administratives, spécialistes des médias, leaders d'opinion et société civile) doivent s'unir pour œuvrer au changement des mentalités et comportements qui entravent la scolarisation des filles et favoriser leur intégration effective dans la vie économique, sociale et politique. Dr. Mariem Fadel Dah a tenu tout d’abord à exprimer ses sincères remerciements aux habitants du Gorgol et aux autorités administratives de la wilaya pour l’accueil chaleureux et la généreuse hospitalité, ainsi qu'à l'honorable assistance, en particulier les partenaires au développement qui, malgré leurs occupations et la situation sanitaire, ont tenu à faire le déplacement pour participer aux activités de lancement de la deuxième phase du Projet Autonomisation des Femmes et dividende démographique au Sahel (Asweed).
CGTM - Les travailleurs et travailleuses de notre pays, commémorent cette journée du 29 mai 1968, date durant laquelle, à Zouerate, des ouvriers de la Société des Mines de fer de Mauritanie (MIFERMA) avaient perdu la vie devant une sanguinaire et mortelle répression décidée par la direction générale de leur société. Face à une grève revendicative légitime qui réclamait l’amélioration des conditions de vie et de travail des ouvriers dits indigènes qui étaient exploités et spoliés de leurs droits, la direction générale de la MIFERMA, soutenue par les pouvoirs publics, a recouru à une répression brutale et frontale mortelle pour chercher à en venir à bout de la détermination des travailleurs. Cette détermination des travailleurs qui avait surpris les tenants du pouvoir et la direction de la société, en ce qu’elle a pu mobiliser tous les travailleurs, issus de toutes les ethnies de notre peuple, dans un élan unitaire et solidaire sans précédent, alors que la Mauritanie était traversée, à cette époque, par de multiples courants chauvins expansionnistes et des idéologies séparatistes étroits provenant des milieux intellectuels en particulier.
Kassataya - La société civile mauritanienne est descendue dans la rue ce début de semaine à Nouakchott pour demander la restitution des biens volés par l’ex-président Ould Aziz à l’Etat. Cette manifestation qui vient aussi tardivement après 10 chefs d’accusation de l’ancien président mauritanien, est diversement interprétée par les observateurs qui pointent une société civile ambigüe derrière laquelle se cachent des slogans hostiles à la décennie de Ould Aziz mais proches du parti au pouvoir et de l’opposition notamment sur la gabegie et la corruption, la hausse des prix des denrées alimentaires, la dégradation de l’unité nationale, la restitution des biens de l’Etat, les violations des libertés. Les observateurs s’interrogent sur cette triple facette de la société civile qui n’est jamais descendue dans la rue pour réclamer l’abrogation de la loi d’amnistie de 93 qui protège les auteurs des crimes commis contre 28 soldats noirs à Inal en 91 ou encore pour le retour des réfugiés au Sénégal et au Mali qui attendent dans des conditions difficiles depuis plus de 3 décennies.
Essahraa - Le Syndicat des Journalistes Mauritaniens (SJM) a appelé le gouvernement à agir rapidement pour sauver le champ médiatique de l'effondrement et à le soutenir financièrement et moralement. En dépit des appels répétés lancés par le syndicat depuis sa création jusqu'à ce jour, la situation du journaliste mauritanien dans les secteurs public et privé reste toujours au point mort, indique un communiqué publié par le SJM. L’amélioration des conditions du journaliste, tant matérielles que morales et sa jouissance de la protection juridique, constituent le premier édifice de construction de médias nationaux professionnels au service du pays et du citoyen plus qu’autre chose, ajoute le syndicat.
Le Rénovateur Quotidien - Le 1er mai journée internationale du travail est intervenue encore cette année dans un contexte mondial marqué par la persistance da la pandémie COVID 19. Alors qu’en Mauritanie un assouplissement des mesures sanitaires a été observé ces derniers temps et les chiffres alarmants ont faibli avec une reprise totale de toutes les activités économiques dans le pays, les manifestations du 1er mai étaient très attendues. Alors que les centrales syndicales affutaient leurs armes pour battre le pavé, des consignes ont été données pour surseoir à la tenue des marches traditionnellement dédiées à cette journée très chère aux travailleurs. Pour éviter une transmission vectorielle de la maladie, les confédérations des travailleurs en Mauritanie ont annulé tout rassemblement de masse dans tout le pays en ce samedi 1er mai journée de commémoration de la fête internationale du travail.
RFI Afrique - En Mauritanie, les marches initialement prévues pour le 1er-Mai ont été annulées en raison de la pandémie de Covid-19. En guise de remplacement: les conférences de presse et des défilés. Les leaders syndicaux y ont dénoncé une dégradation des conditions de vie des travailleurs. Dégradation de la situation des travailleurs, hausse des prix des denrées de consommations de base, fermeture des entreprises et hausse du chômage… Joint par RFI, Samory Ould Beye, secrétaire général de la confédération libre des travailleurs de Mauritanie (CLTM), dénonce cette situation.
Zouerate Actu - Dans le cadre du projet intitulé : « Renforcement du Pouvoir citoyen d’organisations communautaires de base de 03 communes au Brakna, au Gorgol et au Hodh El Gharbi pour favoriser la cohésion sociale et l’émergence d’hommes, de femmes, jeunes et enfants » financé par l’Union Européenne et Oxfam, le ROSA (Réseau des Organisations sur la Sécurité Alimentaire) a organisé un atelier de formation sur le réseautage à l’endroit des bénéficiaires dans les Communes de Tintane, Boghé et Kaédi, zones d’intervention du projet. L’activité a pour objectif de renforcer les capacités et la compréhension de la thématique par les organisations communautaires de base afin de les amender à adopter les meilleures pratiques associatives, mieux, adapter les outils qu’il faut pour créer et développer un réseau plus dynamique. Cet atelier s’est tenu du 17 au 23 février 2021 en raison de deux jours par Commune (Tintane 17 et 18 ; Boghé 20 et 21 ; Kaédi 22 et 23).
Saharamédias - Les confédérations des travailleurs en Mauritanie ont décidé de ne pas organiser de marches samedi à l’occasion de la fête internationale du travail dans toutes les villes. Une source syndicale a déclaré à Sahara Medias que cette mesure a été prise dans le cadre des mesures préventives contre le coronavirus. La même source a cependant ajouté que les syndicats tendront des conférences de presse au cours desquelles ils révèleront leurs revendications et remettront leurs cahiers de doléances au gouvernement.
CGTM - Le 1er mai 2021 intervient cette année dans un contexte mondial particulier caractérisé par la persistance d’une pandémie dénommée COVID 19 qui fait encore plusieurs victimes dans tous les continents, malgré les efforts considérables des scientifiques qui ont abouti à produire des vaccins qui promettent un espoir de conjurer toutes les variantes de cette pandémie. Toutefois, cette pandémie a fini de démontrer que la gouvernance mondiale actuelle dictée par la domination des capitaux et de l’économie du marché, imposée par les politiques néolibérales depuis la fin du siècle dernier, a conduit tout le système basé sur la dérèglementation des acquis sociaux et des droits fondamentaux au travail, de subir un cuisant échec d’une ampleur sans précédent. Le démantèlement des filets de sécurité et de protection sociales, la privatisation des systèmes nationaux de santé, l’exclusion des millions de travailleurs et travailleuses de toute assurance médicale, le recours à l’accumulation des bénéfices et des dividendes en faveur des plus riches, la paupérisation de plus de ¾ de l’humanité à travers des règles inégales du commerce mondial, sont les conséquences de ces politiques néolibérales imprimées à la mondialisation actuelle.
Zouerate Actu - Le réseau des organisations sur la Sécurité Alimentaire en Mauritanie, est partenaire d’Oxfam dans le cadre de 2 projets financés par l’AECID et l’Union européenne respectivement appelés Convenio et projet OSC à savoir : «Justice sociale et résilience à travers la réduction des inégalités en Mauritanienne» et « Renforcement du pouvoir citoyen d’organisations communautaires de base de 03 Communes au Brakna, au Gorgol et au Hodh El Gharbi pour favoriser la cohésion sociale et l’éducation à la citoyenneté d’hommes, de femmes, jeunes et enfants ». Ces 2 projets interviennent, dans un contexte marqué par des inégalités socioéconomiques pernicieuses et persistantes entre différentes franges sociales. Ces inégalités affectent plus la vie des femmes en particulier celles du milieu rural, moins informées sur leurs droits et peu impliquées dans les décisions qui affectent leurs moyens d’existence.
Initiatives News - Les principales organisations de la société civile mauritanienne ont célébré ce mercredi 09 décembre la Journée internationale de lutte contre la corruption commémoré cette année sous le thème : « RETABLIR avec intégrité ». Une cérémonie officielle a été organisée à cet effet à « Nouakchott Hôtel ». Les responsables des différentes associations de la société civile présents ont chacun dit un mot sur la problématique de la corruption et la nécessité de l’éradiquer. Ouvrant le bal Mohamed Abdallahi Bellil, président de l’Observatoire mauritanien de lutte contre la corruption (OMLCC),
Sahara Médias - Le syndicat du personnel de l’agence nationale pour la population et les titres sécurisés, ont demandé aux autorités de satisfaire leurs doléances, dont notamment une augmentation des salaires et l’octroi de certaines primes, mettant en garde contre le déclin de cette institution à cause de ce qu’il appelle le mécontentement croissant des travailleurs. Dans un communiqué publié mardi et dont Sahara Medias a obtenu une copie, l’agence se vide depuis quelque temps de ses employés découragés par la situation difficile qu’ils vivent, incompatibles avec leurs niveaux scientifiques et les missions qu’ils remplissent. « Malgré tout ce que ces travailleurs ont réalisé, leur situation est inadéquate avec les missions remplies et les sacrifices consentis », ajoute le communiqué.
RFI Afrique - Le Conseil des ministres a approuvé mercredi 16 septembre un projet de loi sur les mouvements associatifs. Le texte qui sera soumis au Parlement au mois d’octobre doit permettre aux associations de faire uniquement un déclaratif au lieu de les obliger à obtenir une autorisation préalable des autorités. La loi actuelle ne permet à aucune association non reconnue officiellement par le gouvernement de tenir une réunion, d’organiser une conférence de presse ou participer à une manifestation publique. Sachant que certaines associations mettent plus de dix ans avant d’être reconnue. C’est le cas de l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste (IRA) de Biram Dah Abeid qui n’a jamais tenu compte de ces dispositions. Selon un juriste du mouvement, elles violent d’ailleurs l’article 10 de la Constitution de 1991 censé garantir aux citoyens la liberté d’expression, d’association et de mouvement.
Sahara Médias - La confédération nationale des travailleurs de Mauritanie a demandé l’ouverture d’un dialogue social inclusif afin de mettre en place une vision efficiente pour faire face au coronavirus, six mois après son apparition. Dans un communiqué publié lundi la CNTM a estimé que six mois après le début de la pandémie, les mesures et les dispositions prises sont restées en deçà des aspirations des mauritaniens en général et les forces productives dont la majorité de leurs activités se sont arrêtées à cause des mesures préventives contre la maladie. La confédération a demandé au gouvernement d’honorer les engagements pris par la commission centrale chargée de gérer le fonds du covid-19 qui prévoient d’octroyer des indemnités aux personnes travaillant dans l’informel et à faibles revenus.
Initiatives News - En perspective du procès en vue de l’ancien président et de ses sbires et autres seconds couteaux qui sont accusés d’avoir mis en coupe réglée l’économie nationale au cours de la décennie écoulée, la Société Civile mauritanienne est décidée à jouer sa partition en prenant part activement au processus judiciaire complexe dont l’objectif ultime est la restitution intégrale des biens détournés. C’est dans ce cadre qu’une « Alliance pour le Recouvrement des Biens Mal Acquis » vient de voir le jour. Elle regroupe les principales organisations nationales de la Société Civile ainsi que des personnalités indépendantes. L’alliance qui a publié un appel en date du 31 Août a tenu jeudi après midi une conférence de presse destinée à édifier l’opinion sur son projet.
Mohamed Abdallahi BELLIL - Chers concitoyens, Constatant les avancées sensibles réalisées dans le domaine de la lutte contre la corruption, le détournement des biens publics et l’impunité par les pouvoirs exécutif et législatif ; avancées sans précédent saluées à l’unanimité par la Majorité et l’Opposition et, aussi, par une large opinion publique. Constatant les actions en cours entreprises par le pouvoir judiciaire pour concrétiser cette progression vers l’instauration d’un Etat de Droit que nous avons toujours appelé de nos vœux, chacun à sa manière et à partir de son positionnement propre. Vue l’impérieuse nécessité de la convergence des efforts de toutes les forces vives du pays pour la réalisation de cet objectif d’éradication de la corruption, sans lequel aucun développement humain durable ne saurait être envisageable. Conscients de l’urgence et de la gravité des faits révélés par la Commission d’Enquête Parlementaire ;
AMI - Des organisations de la société civile ont appelé, jeudi, à la récupération des biens publics détournés, lors d’un atelier, organisé à Nouakchott. Au cours de la rencontre, plusieurs intervenants ont insisté sur la nécessité de créer une large alliance sociale en faveur de la récupération des biens détournés et de la lutte contre la prévarication. Dans un communiqué, lu face à la presse par l’activiste, Dah Ould Ahmed El Moktar, le groupe déclare apprécier les procédures juridiques engagées par les autorités concernées par la lutte contre la prévarication et par l’enracinement de l’Etat de droit.
Journal Le Terroir - Après avoir été découragé par quelques averses au niveau du périmètre maraicher du maire situé à la périphérie du village de Darel El Barka lieu initialement prévu pour abriter la rencontre. Ce lieu a été finalement relocalisé dans le domicile de la défunte ministre Kadiata Kane pour y poursuivre les travaux de la journée autour de la gestion des ressources naturelles locales. La journée de concertation a démarré vers 11 heures par une présentation de l’agenda et un mot d’ouverture prononcé par le chef de projet, de l’ONG Caritas Mauritanie au Brakna, Mr Djigo Alassane, suivi d’un discours du maire de Darel Barka Mr Kane Amadou Tidjane lu en pulaar et en français. Cette journée rentre dans le cadre des activités du Projet d’Appui à la Sécurité Alimentaire et à la Résilience au changement Climatique au Brakna Sud (PASARC), cofinancé par l’Union européenne dans le cadre du programme de l’alliance mauritanienne contre le changement climatique phase II (AMCC+) en appui aux initiatives locales d’adaptation et d’atténuation.
Groupe Progrès & Développement - Nous avons l’honneur de porter à la connaissance du Gouvernement, des partenaires techniques et financiers de la Mauritanie, des partis politiques, de la Société civile, des ordres nationaux, des opérateurs économiques, des chercheurs, des universitaires, et autres parties concernées, le lancement des activités du Groupe Progrès & Développement. Le groupe GPD a été créé par des cadres, des experts, des chercheurs et des membres de différents corps de métier venus d’horizons divers dont la Diaspora mauritanienne. C’est un groupe indépendant à vocation multidisciplinaire. Il est apolitique mais en dehors du groupe, les membres sont libres dans leurs orientations. Le Groupe a été créé le 13/06/2020 et il vise à participer à l'ancrage de la démocratie pour l'édification d'un état de droit, juste et égalitaire car tout développement du pays passe nécessairement par des propositions et des suggestions faites par les fils de la nation, où qu'ils se trouvent, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays.
Arriyada.net - L’apparition de la covid-19 en Mauritanie au mois de mars dernier a vivement alerté les organisations de la société civile intervenant dans la wilaya du Tiris Zemour. En partenariat avec le Programme de Microfinancement du Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) – SGP mis en œuvre par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), elles sont constituées en consortium de 5 associations que sont l'Association Mauritanienne pour la Santé et l'Environnement (AMSES), l’Association des jeunes pour la protection de l'environnement (AJPE), l’Association Sahel pour la Communication Culturelle et Sociale (ASCCS), l’Association des Femmes Chefs de Famille (AFCF) et l'Association Actions pour les Handicapés (APHTZ). L’objectif étant de mieux structurer et de coordonner leur action en cette période de pandémie de coronavirus.