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AMI - Dans le cadre du suivi permanent des situations d’urgence, notamment les inondations saisonnières et la crue du fleuve Sénégal, le comité ministériel chargé du suivi de la mise en œuvre du Plan national d’intervention d’urgence s’est réuni, lundi, sous la présidence du Premier ministre, M. Mokhtar Ould Diay, pour prendre les mesures nécessaires concernant les répercussions de la crue du fleuve qui a causé des dégâts dans certaines zones agricoles et villages situés sur la rive mauritanienne. Au début de la réunion, le comité technique a présenté un rapport détaillé sur le niveau de la montée des eaux et les dommages qui en résultent dans ces zones, ainsi que le type d’interventions urgentes nécessaires. Après discussion de tous ces aspects, S.E. le Premier Ministre a souligné la nécessité d’accélérer les mesures nécessaires pour préparer les activités d’urgence, pour faire face à l’ampleur des dégâts, pour adapter les mécanismes d’intervention, pour fournir un soutien aux zones touchées et pour soutenir les mesures préventives pour d’autres zones.
EN BREF | #Cridem – Ce lundi 14 octobre 2024, à Diaguily, dans le Guidimagha, au sud de la Mauritanie, des pirogues sont désormais utilisées pour les déplacements. Le village a été complètement submergé par les eaux du fleuve Sénégal. Dans des vidéos transmises à CRIDEM, l’eau continue de grignoter l’intérieur du village. D'après l'OMVS, les cotes d’alerte ont été dépassées dans toutes les stations de la vallée et du delta du fleuve Sénégal, ce qui a entrainé des crues dans les zones habituellement inondables. « Même dans le centre de Diaguily, tout est inondé. Au début, les gens pensaient que l’eau ne pouvait pas arriver jusque là-bas et maintenant, voilà, que l’eau est partout. Les eaux du fleuve ont également atteint le cours d'eau situé près du village », indique à CRIDEM, un ressortissant du village.
EN BREF | #Cridem – Plusieurs villages dans le Guidimagha en Mauritanie situés au bord du fleuve Sénégal ont été envahis par des eaux débordantes de ces cours d’eau. Les populations, dans la tourmente, appellent les autorités à l'aide... « Diaguili, Diogountouro, Ghabou, Solou…On a subi des inondations : cela fait maintenant 72 heures. Beaucoup de familles ont quitté leurs maisons pour sauver leur vie. On a besoin d’aide. On ne sait pas où aller. On est tous dans la merde », indique un ressortant du village de Diaguili qui a contacté CRIDEM. « Depuis hier, personne n’arrive à dormir tranquillement. Impossible de dormir, impossible d’être tranquille », a-t-il indiqué.
Taqadoumy - Le Ministre de l’Equipement et des Transports, Ely El Feïrik, a indiqué que le gouvernement a entamé la réalisation du plus grand projet routier de l’histoire du pays. Il porte sur 7 axes principaux, dont 6 sur la route de l’Espoir, « artère vitale qui relie 8 wilayas à la capitale Nouakchott ». Chaque tronçon est d’une longueur de 100 kilomètres. Le 7e axe, c’est le tronçon Aleg-Boghé-Kaédi. Le Ministre a répondu à une question sur le retard des travaux sur plusieurs axes de la route de l’Espoir, malgré son état de dégradation, lors d’une séance publique au Parlement. Le Ministre a expliqué que le projet a coûté 43 milliards MRO, ajoutant t qu’il a été exécuté par quatre sociétés mauritaniennes et deux sociétés chinoises.
Sahara Médias - Le gouvernement a signé un accord pour la construction d’un réseau complet d’assainissement à Nouakchott d’une valeur de 177 millions de dollars, soit environ 67 milliards MRO, a déclaré Ahmed Zidane Ould Mohamed Mahmoud, directeur général de l’Office national de l’assainissement en Mauritanie. Dans une interview accordée à Sahara 24, Ould Mohamed Mahmoud a ajouté que le projet est financé par le gouvernement mauritanien. Il a précisé que le contrat a été signé suite à un appel d’offres international pour le projet remporté par une société chinoise, expliquant que le réseau devrait être « lancé à la fin de cette année ou au début de l’année prochaine, avec des travaux d’une durée de 45 mois ».
Le360 Afrique - Nouakchott traverse une crise d’eau aigüe, et la raison est à dénicher dans les eaux devenues boueuses du fleuve Sénégal en raison des pluies abondantes pendant l’hivernage qui s’étale de juillet à octobre. Et c’est aux femmes, qui suent sang et eau, que revient la corvée d’approvisionner la maison en ce précieux liquide. Comme pour beaucoup de ses concitoyennes, Fatou Kine doit se réveiller aux premières heures de la journée pour alimenter son foyer en eau, «à la maison, nous nous sommes réveillés sans la moindre goutte d’eau. Je suis à la quête du liquide précieux depuis ce matin. Après plusieurs heures de calvaire, j’ai fini par en trouver à un prix excessivement cher. En plus des 2 ouguiyas pour un bidon de 20 litres, je dois également payer les frais de transport pour amener l’eau à la maison» raconte, le front en sueur, cette femme au foyer à Nouakchott.
Future Afrique - Les équipes de pompage des eaux pluviales déployées par le député Ahmed Fall sont suivies d’effets dans des quartiers, mosquées et écoles de Rosso. Les flaques d’eau formées ça et là, après les dernières pluies enregistrées dans la ville commencent à ne plus faire partie du décor. Au-delà du constat, le député a mis à la disposition des équipes des motopompes, des fûts de carburant, des tuyaux et des raccords d’évacuation des eaux pour qu’elles assurent un travail efficace. Et, il faut préciser qu’avec l’appui des jeunes des quartiers un plan de travail et des solutions urgentes ont été mises en œuvre pour aider les populations impactées.
Future Afrique - Depuis, lundi 23 septembre 2024, les robinets n’ont pas versé une seule goutte d’eau dans plusieurs quartiers de la commune de Riad. Les populations vivant dans ces quartiers ont déclaré qu’ils n’en pouvaient plus. Certains courent depuis 08 heures de ce mardi 24 septembre 2024, vers les quartiers de la Samia, Arafat, Cité plage... pour avoir de l'eau. Par ailleurs, les causes de ce manque du liquide précieux n’ont été évoquées par les services de la SNDE. "Nous demandons aux autorités locales et autres de prendre des mesures pour atténuer "nos souffrances en cette période de forte canicule" déclare un habitante du PK11. Et, un autre d'ajouter qu'un "calvaire inqualifiable s’est péniblement emparé du quotidien des habitants de cette ville".
Sahara Médias - Le ministère de l’hydraulique et de l’Assainissement a annoncé le lancement d’une campagne de lutte contre ce qu’il appelle la « fraude aux compteurs d’eau » à Nouakchott. Dans son communiqué qu’il a publié, le ministère précise que cette campagne s’inscrit dans le cadre d’une série de mesures urgentes que la ministre Amal mint Maouloud a ordonné à la Société nationale de l’eau de prendre. Ces mesures comprennent l’identification précise du réseau de distribution de Nouakchott dans les prochaines semaines, l’élimination définitive des fuites d’eau et la fin des dysfonctionnements fréquents des sources de production d’eau.
Le Quotidien de Nouakchott - Contrairement à une idée largement répandue, le prix du foncier à Nouakchott n’est pas aussi exorbitant que beaucoup le croient, notamment lorsqu’on le compare à d’autres capitales africaines et méditerranéennes. Un terrain de 400 mètres carrés à Nouakchott se vend autour de 40 millions de MRO, soit environ 100 000 MRO par mètre carré. Bien que ce prix puisse paraître élevé au premier abord, une comparaison régionale révèle un autre visage du marché foncier mauritanien. À Dakar, la capitale sénégalaise, le prix du mètre carré varie entre 500 000 FCFA (environ 890 euros) et 2 500 000 FCFA (environ 4 450 euros), selon les quartiers prisés. Les zones résidentielles haut de gamme, comme Almadies ou Mermoz, affichent des prix qui surclassent largement ceux de Nouakchott, rendant l’investissement foncier sénégalais bien plus onéreux.
Kassataya - La capitale mauritanienne est estimée à plus 1 500000 selon le dernier recensement de la population et de l’Habitat de 2023. Cette croissance démographique par rapport à 2013 donne l’idée de l’ampleur des solutions pour moderniser Nouakchott après 64 ans d’indépendance. En 2024 près d’un Mauritanien sur trois habite Nouakchott qui compte trois grandes communes très peuplée. Avec plus de 1500000 habitants la croissance démographique est impressionnante à cause d’un exode rural massif des années de la sècheresse à partir de 1970. Plus des deux tiers des habitants sont disséminés dans les périphéries qui manquent presque de toutes les infrastructures routières, sanitaires et logements sociaux et écoles. Ce surpeuplement de la capitale est un casse-tête au niveau de la sécurité avec l’émergence de gangs qui ont pignon sur rue dans les quartiers. Et les communes sont gangrénées par la drogue.
Rimnow - Le ministre de l’Équipement et des transports, Ely Ould El Veirik a instruit les maitres d'oeuvre, au cours d'une visite lors de sa visite effectuée à des tronçons en construction au Hodh Gharbi, a veiller à ce que les tronçons routiers relevant de leurs responsabilité soient achevés dans les délais impartis et le respect des normes de qualité. Le ministre s'est informé à cette occasion du tronçon de la route "El Emel" reliant les villes d’Aïoun et de Tintane sur une longueur de 70 km dont l’état d’avancement des travaux sont encore en cours sur certains de ses axes, ainsi que du degré de conformité avec les caractéristiques techniques définies dans le cahier des charges. ,Le ministre a également visité l’aéroport d’Aïoun et ses différents halls et installations. Il est prévu aussi qu’il visite le tronçon Aïoun – Aoueinat Zbel dans la soirée.
Essahraa - La campagne nationale de contrôle de la circulation au niveau de la capitale, Nouakchott, entre dans sa deuxième semaine, alors que l'on parle d’objectifs atteints, notamment la fluidité du trafic automobile dans le centre-ville, où se trouvent les principaux marchés et services. Toutefois, les vendeurs ambulants qui se sont retrouvés à la quête de nouveaux endroits pour exposer leurs marchandises loin des trottoirs, exigent des alternatives leur permettant de garantir leurs moyens de subsistance et qui servent le visage urbain de la capitale. Certains chauffeurs de taxi parlent du préjudice causé par la mise en œuvre de la campagne, même s'ils ne cachent pas leur joie face à ses résultats « positifs ».
OMVS - Une pluviométrie importante est enregistrée dans la vallée du fleuve Sénégal depuis le début du mois de septembre. Ces pluies, couplées aux apports des affluents non contrôlés, ont engendré une seconde montée des eaux à Bakel et à Matam où les cotes d’alerte ont été atteintes le jeudi 12 septembre 2024 à 18 heures 30 mn. A Podor la cote d’alerte pourrait être atteinte les prochaines heures. Comme cela est normal en période d’hivernage, la montée du plan d’eau pourrait encore se poursuivre pendant quelques jours dans la vallée et dans le delta, mais elle reste toutefois atténuée par l’effet du barrage de Manantali qui continue à stocker de l’eau et celui du barrage de Diama dont les vannes sont ouvertes pour laisser passer l’eau vers la mer. Nous rappelons que les informations diffusées par l’OMVS via ces communiqués sont des mesures préventives pour permettre aux populations riveraines de rester vigilantes et de renforcer le dispositif de lutte contre les inondations éventuelles si des débordements du fleuve venaient à survenir par endroits.
AMI - Les autorités publiques ont lancé récemment une campagne à Nouakchott visant à dégager les voies publiques pour faciliter la circulation dans la ville qui connaît des embouteillages monstres, notamment au centre-ville. La campagne, qui implique la participation de plusieurs secteurs, est axée sur la lutte contre toutes les encombrements qui entravent la circulation et affectent la fluidité du trafic particulièrement aux heures de pointe. L’Agence Mauritanienne d’Information (AMI) a interviewé le directeur de l’Autorité des Transports Urbains, M. Ali Ould Aida, qui a indiqué que cette campagne a permis l’aménagement de 17 stations-parkings dans les quartiers du Ksar et de Tevragh-Zeïna, dont chacun est doté de réservoirs d’eau, d’une maison des chauffeurs, de panneaux de signalisation et d’une signalétique pour indiquer la direction des véhicules.
Le Calame - Grosse canicule, coupure d'eau et d'électricité ont fait de ce mardi 10 septembre, une journée pénible pour les populations de plusieurs zones de Nouakchott. Au niveau de la commune de Riad, dont les quartiers sont appelés PK, la coupure d'eau a duré plus de 10 heures. Tout aussi interminable, celle de l'électricité a privé les supporters de la retransmission sur les chaînes étrangères, de la rencontre Cap Vert/Mauritanie (2-0), comptant pour la deuxième des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations( Maroc 2025).
La Dépêche - Dans son dernier bilan d’août 2024 où il égrène ses réalisations, le ministère de l’habitat, de l’urbanisme et de l’aménagement du territoire (Mhuat) a annoncé avoir déjoué des tentatives d’usurpation du domaine public grâce à un contrôle plus rigoureux de l’espace urbain. Le Mhuat semble aussi mettre les bouchées doubles et amorcer une course contre la montre pour la concrétisation de son programme en matière d’équipements publics et de développement urbain. Des visites régulières sur le terrain du ministre M.M. Niang, lui-même constituent un suivi important et un gage de determination pour des réformes salvatrices. Augmentation du parc scolaire C’est dans cette dynamique, au niveau des équipements publics, que les travaux sont achevés pour sept (7) infrastructures publiques, constituées essentiellement de nouveaux établissements scolaires, en prélude à la rentrée des classes.
RTBF - Dans ce nouvel épisode d’Au bout c’est la mer, François Pécheux vous invite à embarquer pour un voyage fascinant le long du fleuve Sénégal, surnommé "le fleuve des eaux du partage". En parcourant plus de 600 kilomètres jusqu’à l’Océan Atlantique, notre aventurier découvre ce serpent d’eau majestueux qui forme une frontière naturelle entre la Mauritanie, le Mali et le Sénégal. Le fleuve Sénégal a longtemps été la voie de communication principale de la région. Au début de son périple, François rencontre les habitants du Sahel et leurs animaux le long des rives, pour qui ce fleuve représente bien plus qu’une simple rivière : il s’agit d’un véritable trait d’union entre les peuples. Son voyage le conduit ensuite à Matam, point de départ de l’ancienne route des comptoirs français. Là-bas, François rencontre des passionnés de la langue française en pleine partie de Scrabble.
Future Afrique - Pourriez-vous nous parler votre parcours personnel et professionnel ? Aissata Cheikh Sidiya Diop : J’ai commencé ma carrière dans la fonction publique canadienne, où, j’ai passé dix ans. Titulaire d’une maîtrise en sociologie à l’université d’Ottawa. C’est avec ce niveau que j’ai développé une expertise en ressources humaines dans le cadre de mes activités. Dans mon poste de coordinatrice à Passeport Canada, où, j’ai eu l'honneur d'être félicitée pour la qualité de travail et mon dévouement au service des canadiens.
AMI - Le ministre de l’intérieur, de la promotion de la décentralisation et du développement local, M. Mohamed Ahmed Ould Mohamed Lemine, entouré des ministres de la transformation numérique et de la modernisation de l’administration, M. Ahmed Salem Badeh Atfagha, de l’équipement et des transports, M. Ely El Veirik, de la culture, des arts, de la communication et des relations avec le parlement, porte-parole du gouvernement, M.El Houcine Ould Madou, a supervisé, dimanche, le lancement de la campagne de gestion de la circulation routière à Nouakchott. Cette campagne vise à organiser la circulation sur le réseau routier pour la sécurité des personnes et des biens et à réduire les accidents de la circulation. Dans un discours prononcé à cette occasion, le ministre de l’intérieur, de la promotion de la décentralisation et du développement local a déclaré que les embouteillages sont devenus une question vitale qui affecte la qualité de la vie quotidienne des citoyens dans tous les pays.