L'info en continu

Le Reflet - Réunis en assemblée générale le 29 mai dernier, les enseignants de la Faculté des Sciences et Techniques (FST) ont pris une série de mesures, pour exprimer leur mécontentement. Les professeurs, membres du Syndicat National des Enseignants du Supérieur (SNESUP), dénoncent « un blocage » de leurs doléances. Va-t-on vers une grève ?

Au sortir de leur AG, la section FST du SNESUP décide « de s’abstenir de corriger les examens de la session normale de juin 2017 et de retirer du service des examens les copies, de ne pas déposer les sujets des examens de rattrapage des sessions des semestres impairs, de déposer un avis de grève pour l’Année Universitaire prochaine 2017/18 ».

En effet, la section dénonce la situation actuelle des enseignants et déplore, surtout, le fait que la rencontre du bureau exécutif du syndicat, en mars dernier, avec le président de la république n’ait accouché de rien de concret. C’est, en tout cas, ce qui ressort du communiqué qu’il a posté sur cridem, vendredi 10 juin 2017.

Sahara Medias - Ils sont 49.000 candidats, répartis entre 128 centres d’examen dont 65 à Nouakchott, à se pencher lundi sur les premières épreuves du baccalauréat 2017.

Le département de l’éducation a annoncé cette année une batterie de mesures destinées à contrecarrer la fraude dans les centres d’examen. D’abord en obtenant, pendant les quatre jours que doit durer l’examen, la suppression de l’internet vers les mobiles et l’interdiction d’introduire des téléphones dans les salles.

Il a également envisagé des mesures particulièrement dissuasives à l’endroit de ceux qui seront surpris entrain de tricher.

Apanews - Quelque 49.970 candidats dont 48,24 % sont de sexe féminin ont commencé lundi les épreuves de la première session du baccalauréat en Mauritanie, a-t-on constaté à Nouakchott.

Ces épreuves se déroulent dans 128 centres à travers le pays dont presque la moitié se trouve dans la capitale. Les candidats issus de l’enseignement public sont presque à égalité avec ceux venant de l’enseignement privé.

Une attention particulière a été accordée cette année à la lutte contre la fraude qui a entaché le déroulement du bac ces dernières années, avec notamment l’utilisation des téléphones portables connectés à l’internet.

Tawary - C'est aujourd'hui, lundi 12 juin, que l'examen le plus populaire en Mauritanie, le baccalauréat, débute à travers plus de 2340 centres d'examen et pour quatre jours, avec de grands espoirs pour que cette année, ne soit pas comme cela avait été il y a une année.

C'est, du moins, le vœu de tous, dont le ministère de l’Éducation nationale, qui a mis en place, cette année, un dispositif sécuritaire draconien pour empêcher toute fraude ou fuite des sujets, un des casse-têtes pour la sécurisation de cet examen, de fin de cycle scolaire au secondaire.

Pour parer à toute tentative de triche, la « coupure » du réseau internet et le « verrouillage » des réseaux sociaux durant le déroulement des épreuves sur toute l’étendue du territoire national, a précisé le ministre lors d’une réunion avec les présidents des centres d’examen. A la veille du BAC 2017, le ministre a insisté sur la bonne gestion de cet examen.

SNESUP - La Section du Syndicat National de l’Enseignement Supérieur (Snesup) de la Faculté des Sciences et Techniques a tenu à une Assemblée Générale le lundi 29 mai 2017. L’ordre du jour s’est déroulé comme suit :

- Discussion du blocage des doléances ;

- Evaluation du déroulement de l’Année Universitaire 2016/17 ;

- Divers.

Au cours de débats longs et parfois houleux, les présents ont manifesté leur mécontentement face au blocage constaté au sujet de la satisfaction des doléances du syndicat, notamment en ce qui concerne l’application de la convention de 2009, l’augmentation de 2015, le dossier de retraite et la charge horaire.

Sahara Medias - Le syndicat national de l’enseignement supérieur a démenti ce jeudi l’information selon laquelle les professeurs de l’enseignement supérieur allaient entreprendre une grève, ajoutant qu’une telle décision était du seul ressort du bureau exécutif du syndicat.

La semaine dernière la section du syndicat national de l’enseignement supérieur de la faculté des sciences, avait annoncé que les professeurs avaient décidé de ne pas corriger les copies des examens de la dernière session de l’année universitaire de juin 2017, avant que le ministère ne souscrive à leurs doléances.

Selon le syndicat, il s’agit plutôt de d’assemblées générales tenues par des sections syndicales de certains établissements pour discuter des questions relatives posées à des professeurs et les moyens de les solutionner.

Sahara Medias - Ils sont des milliers d’élèves ce mercredi, à travers tout le territoire national, à avoir planché sur les épreuves du brevet. Les 57.199 candidats sont répartis entre 235 centres dont un dans la capitale gambienne, Banjul.

Les garçons sont majoritaires avec 55% parmi les candidats. Une première cette année avec la batterie de mesures prises par le département pour empêcher la fraude, au niveau des centres d’examen.

C’est ainsi que le réseau internet des portables a été coupé, donc inaccessible dans les salles d’examen. Le ministère de l’éducation nationale a par ailleurs prévu des mesures disciplinaires à l’encontre des fraudeurs qui seront pris en flagrant délit.

Sahara Medias - Le syndicat national de l’enseignement supérieur à la faculté des sciences a annoncé mardi le refus des professeurs de corriger les examens de la session de juin 2017 pour protester contre le refus du ministère de répondre favorablement à leurs doléances.

Le syndicat, dans son communiqué distribué mardi, a réaffirmé par ailleurs qu’il ne corrigera pas la session complémentaire imminente.

Cette décision, selon le syndicat, est intervenue après le blocage de la plateforme revendicative et l’évaluation faite de l’année universitaire 2016-2017 et les difficultés qui l’ont engendrée.

Sahara Medias - Ils sont au total 80.000 élèves, répartis entre 878 centres d’examen, qui planchent depuis ce lundi matin sur les épreuves du concours pour l’entrée en première année de l’enseignement secondaire.

Selon une source du ministère de l’éducation nationale l’examen se déroule dans de bonnes conditions.

877 centres d’examens sont répartis sur l’ensemble du territoire national et un centre ouvert à Bamako, la capitale malienne.

AMI - Le ministre de l’Education nationale M. Isselmou Ould Sidi Mokhtar Ould Lehbib s’est réuni samedi soir à Nouakchott avec les chefs des centres d’examens sur toute l’étendue du territoire national.

Le ministre a souligné que cette rencontre offre une bonne occasion de rencontrer le staff chargé de superviser les examens nationaux, en particulier le baccalauréat.

Le ministre a exprimé, au cours de cette rencontre, sa gratitude et ses remerciements à ce staff pour le travail mené au cours de l'année écoulée et pour le succès remarquable des derniers examens, qui a reflété la crédibilité des examens en Mauritanie, soulignant l'importance du rôle joué par le chef du centre en tant que premier et dernier responsable de ce qui se passe dans son centre.

La Direction des examens et de l’évaluation au ministère de l’éducation a lancé son tout nouveau site, créé afin d’accompagner le déroulement des examens nationaux 2016-2017.

Accessible à ce lien http://www.dec.mr/, le site présente les moteurs des recherches pour les trois concours du Baccalauréat de l’Enseignement Secondaire, du Brevet d’Etudes Premier Cycle et du Concours d’Entrée en Première Année du Secondaire.

La rédaction de cridem.org souhaite pour la circonstance, bon succès à tous les candidats à ces examens nationaux, après une année de labeur et d’assiduité.

Le Calame - Ibrahima Théo Lam déplore que « l’élan de la jeunesse africaine et son esprit de créativité entrepreneurial soient freinés ». Chef d’entreprise depuis plus de dix ans, Lam enseigne en France et en Afrique francophone. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’entrepreneuriat des femmes et des jeunes en Afrique et sur le développement personnel.

Il anime régulièrement des conférences et des ateliers thématiques, pour favoriser le développement de l’employabilité des jeunes et l’amélioration des conditions de vie et de travail des femmes en Afrique.

Le sénégalais, auteur des « Lettres à la jeunesse africaine », balaie, d’un revers de main, les déclarations à l’emporte-pièce de certains gouvernants estimant que la jeunesse est l’avenir du continent. «C’est une façon d’écarter encore les jeunes qui ne bénéficient d’aucun accompagnement, dans bien des pays, et ne sont guère consultés, dans l’élaboration des politiques de développement la concernant.

Les Mauritanies - L’ampleur de la fuite des cerveaux suscite aujourd’hui des débats dans le pays. C’est dans cette perspective qu’une rencontre s’est tenue ce lundi entre plusieurs parties prenantes pour discuter des enjeux de cette diaspora.

En effet, un atelier de restitution du Portrait Web pour la cartographie de la diaspora mauritanienne couvrant plusieurs thèmes a été animé par la chef de mission de l’organisation internationale pour les migrations et le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.

Cependant, l’objectif est d’établir une liaison entre les Mauritaniens de l’extérieur et le pays d’origine ; l’expertise, les connaissances et les avantages que la diaspora peut apporter afin de contribuer au développer du pays.

Sahara Medias - L’accalmie n’aura pas duré longtemps. Le problème des bourses a de nouveau refait surface, l’union nationale des étudiants mauritaniens ayant rejeté jeudi les résultats de la dernière réunion de la commission nationale des bourses.

Selon l’union, la commission a exclu des centaines d’étudiants de différentes filières.

Dans son communiqué distribué jeudi, l’union générale des étudiants mauritaniens dénonce l’absence, pour la troisième année consécutive, des représentants des étudiants des réunions de la commission nationale des bourses.

Le Rénovateur Quotidien - Aziza Mint Sidi Bounza Ould Gawad Ould Ahmed Bennane est, désormais, la première étudiante à obtenir une moyenne de 18,5/20 pour son mémoire de fin d'études à l'université Cheikh Anta Diop de Dakar au Sénégal.

Agréablement surpris par le niveau de performance de l'étudiante à travers les données, analyses et conclusions avancés dans son mémoire, les professeurs membres du jury ont accordé à celle-ci la mention «Excellent» avec félicitation.

Il est à signaler que le mémoire de fin d'études, présentée par Aziza, s'est focalisé sur des recherches techniques concernant la station Cheikh Zayed pour l'énergie solaire située au nord de Nouakchott.

Nord Info - Les syndicats des enseignants à Nouadhibou ont décidé d’organiser un sit-in au siège de l’Autorité de la Zone Franche ce jeudi 1er juin aux environs de midi.

Ce sit-in de protestation vient exprimer le ras-le-bol des enseignants face à la non distribution des permis d’occuper à leurs proprios. Les enseignants s’insurgent car ils disent que près de 80 % des concernés ont déjà payé les émoluments acceptés de part et d’autre comme montant de remboursement contre l’octroi d’un terrain.

D’après ces syndicats, si le sit-in ne règle pas ce différend, ils promettent de multiplier et diversifier les protestations jusqu’à le règlement des problèmes. Il s’agit de l’octroi de copies du plan directeur des terrains, l’aménagement de l’emplacement, la distribution des permis aux ayant droits.

Tawary - Le ministère de l’Education nationale (MEN) et la direction des examens et concours (DEC) préparent activement la tenue des examens et concours de fin d’année scolaire prévus en juin prochain.

Tout a commencé par l’acheminement cette année à temps des paquets de feuilles d’examen dans les différentes wilayas du pays. D’une source sûre, cette année le ministère en collaboration avec la DEC, a insisté sur une bonne impression des feuilles et avec des caractères spéciaux pour parer à toute tentative de fraude.

Selon une source au sein du ministère de l’éducation nationale, les rames de feuilles d'examen à quantités suffisantes pour le concours d’entrée en 1ère année du secondaire sont déposés au niveau des inspections départementales et celles pour les candidats au brevet de fin du premier cycle du secondaire et au baccalauréat sont réceptionnées par les directions régionales de l’éducation nationale.

24.com - L’une des mesures individuelles prises jeudi dernier par le Conseil des ministres mauritanien, a porté sur la nomination d’une nouvelle directrice adjointe de l’Institut Supérieur des Etudes et des Recherches Islamiques (ISERI).

C’est Mariem Mohamed Lemkheitir, qui a été désignée à cette fonction. L’intéressée est considérée étrangère à cet établissement de l’enseignement universitaire originel, où le règlement stipule, suivant l’article 20 du décret N° 22/2016, l’assistance du directeur général dans ses missions ou en en cas d’absence, d’un adjoint nommé par décret ministériel, parmi les professeurs de l’établissement.

RFI - Plus de 2 000 langues sont dénombrées en Afrique, dont une centaine seraient maîtrisées par plus d'un million de locuteurs.

Les plus parlées seraient dans l’ordre : l'arabe (150 millions de personnes), le kiswahili (plus de 100 millions), l'amharique (50 millions), le hausa (35 millions), le yoruba (30 millions), l'oromo (25 millions) et l'ibo (24 millions), avant le kinyarwanda et le kirundi (20 millions), deux langues cousines qui partagent avec le lingala (13 millions), mais aussi l'isizoulou et l'isixhosa (10 et 8 millions), leur appartenance au grand sous-groupe des langues bantoues.

« Si on écarte les langues indo-européennes et malayo-polynésiennes introduites en Afrique durant les deux derniers millénaires dont les principales sont l'arabe, le malgache, l'afrikaans, le portugais, l'anglais, le français, l'espagnol, le hindi, le bouchpouri, l'ourdou, le chinois, il reste un peu plus de 2 000 langues qui se répartissent en quatre grandes familles », explique l'Académie africaine des langues (Acalan), créée en 2005 par l'Union africaine (UA) et basée à Bamako.

Tawary - Le Colonel Dey Ould Bamba Ould Yezid a été désigné, samedi 27 mai, nouveau directeur de l’Ecole de la gendarmerie de Rosso suite à un mouvement effectué par l’État-major de la gendarmerie nationale, selon une source informée.

Cet officier supérieur était jusqu’à ce jour commandant de la Zone-Ouest qui couvre les villes de Nouadhibou, Rosso et Nouakchott. A la tête de cette structure, il mobilisait régulièrement ses hommes bien équipés pour la sécurité des personnes et de leurs biens dans leurs zones d'intervention.

L’homme s’informait en personne sur les activités des représentations de son commandement, apprend-on. Selon des informations, Dey Yezid pour les intimes, est un homme calme et franc mais rigoureux dans son travail.