Monsieur Kane, l'augmentation significative du nombre d'étudiants dans nos universités est un signe encourageant pour l'avenir de notre pays. Nos autorités ont pris conscience de l'importance de retenir nos talents et de créer des opportunités locales attrayantes. Bien que certains choisissent encore d'étudier à l'étranger, nous travaillons à améliorer les conditions pour inciter leur retour et mettre leurs compétences au service de notre nation.

Nos universités s'efforcent continuellement d'élever leurs standards et de former des diplômés compétents dans divers domaines. Chaque étudiant a le potentiel de contribuer de manière unique à notre société, que ce soit dans le milieu académique ou entrepreneurial. Nos diplômes sont conçus pour répondre aux besoins du marché du travail en constante évolution, offrant ainsi de réelles perspectives d'avenir à nos jeunes talents.

En Mauritanie, la situation éducative est préoccupante. 95% de nos étudiants peinent à produire un document reflétant leurs acquis fondamentaux. Le système de bourses actuel soulève des questions quant à son efficacité et son équité. Il semble favoriser certains groupes sans nécessairement promouvoir l'excellence académique. La distribution des bourses doit être repensée pour cibler réellement les étudiants méritants et motivés. Il est crucial de mettre l'accent sur la qualité de l'enseignement plutôt que sur des chiffres d'inscription gonflés artificiellement. Notre priorité doit être de former des diplômés capables de lire, écrire et appliquer leurs connaissances de manière concrète. Une réforme en profondeur de notre système éducatif s'impose pour garantir un avenir prometteur à notre jeunesse et au développement de notre pays.

Monsieur Kane, La situation de notre pays est préoccupante, et les défis auxquels nous sommes confrontés sont indéniables. Le lobby exerce une influence considérable sur nos affaires. Concernant le président Ghazouani, nous observons une détérioration progressive de sa position. Le démantèlement des réseaux de trafic de drogue a marqué le début de cette phase délicate. Il est troublant de constater que certains individus impliqués dans la chute du gouvernement Aziz, et actuellement incarcérés, maintiennent des liens avec l'administration Ghazouani. Les indicateurs actuels laissent présager des difficultés croissantes avant la fin du mandat. La réalité de la situation ne peut être masquée par de simples effets d'annonce. Il est crucial de rester vigilant et d'œuvrer pour l'intérêt de notre nation.