CHOUM VOUS N'EN FAITES QU'A VOS TÊTES, TORTURER TROIS PERSONNE EST DIFFÉRENT DE MASSACRER TOUT UNE ETHNIE; COMBIEN DE NOIRS SONT TUES ET AUCUN MAURE BLANC N'A MANIFESTE SA SOLIDARITÉ, NI MÊME LES OULEMAS; LAISSEZ LES NOIRS TRANQUILLE ET ACCEPTEZ QU'UN JOUR NOUS MARCHERONS SUR LA LIBERTÉ DANS CE PAYS NOIRS ET BLANCS

@ choum.
Vous voyez que dans le cas de Mr Dedde on a procèdé de manière chirurgicale. On s'en est pris aux maures d'un courant (ce à quoi je suis contre mème si je le souligne_la torture). C'est pas les maures de tout bord et tout courant de pensé qui ont été réprimés. Alors que dans le cas des noirs, pour une simple protestation (manifeste), on s'en ai pris à tout le monde sans distinction. Des déportations ont eu lieu. Un etat de terreur particulier a été decrèté dans le Fouta. Ce qui n'a jamais eu lieu dans un endroit mauresque.

Des femmes ont été violées, des enfants traumatisés, des hommes humiliés, des personnes torturées et tuées sans appartenir à tel ou tel groupe ni preuve de culpabilité. Les biens ont été confisqués. Parcequ'ont cherchait un pretexte pour s'en prendre à toute une communauté qui ne parlait pas hassania. Ce qui n'a pas été le cas des maures.

Merci a ce journaliste de donner l'exemple. Le pardon est une voie qui aide a liberer et l'opprime et l'oppresseur, et ce monsieur nous honore tous de par son pardon. Que le ciel le guide.

@DEBALLAHI
hahahaaa
Bien dis

@Vent de sable:
on est passé de vent de sable à tempête. Épargnez nous un ouragan, ou un cyclone, svp.

Gaidalla etait un homme de principes, il n'a pas tort de punir les Bathiste comme dede

Haidalla avait bien raison de réprimer ces milices de nationalistes arabisants, qui voulaient baa’thiser, irakiser, ou nassériser le pays en l’entraînant vers un avenir incertain. Ils ont prospéré sous le régime dictatorial de Ould Taya, qui d’ailleurs les protégeait et les utilisait à ses intentions.

L’arabisation à outrance qu’ils ont favorisée a été une catastrophe culturelle dont tout le monde subit encore les conséquences.

Aujourd’hui, ces mouvements ont régénéré, mais dissimulés sous des emblèmes culturels ou religieux.

Si on ne peut pas oublier, nous pouvons, quand même, pardonner. C’est notre culture qui nous le dicte. C’est aussi la culture Mandela. Mais, faut-il qu’on demande le pardon. Le demander, est une reconnaissance implicite du forfait, un mea-culpa. Monsieur Dedde, et c’est à son honneur, le fait sans qu’on le lui demanda. Il a été, comme bien d’autres, victime des années du système Hitléro-stalinien de Haidalla.

J’ai eu la curiosité, pendant un moment de totale oisiveté, de lire les mémoires du Colonel, ou ce qui en fait office. J’y ai apprécié deux choses. La première, de pure forme, est l’exceptionnelle qualité de la transcription en excellent arabe, des baragouinages (en Hassanya) de l’intéressé. Le mérite en revient aux éditions Alakhbar qui, sans avoir l’intention de leur faire une publicité gratuite, ont ainsi réalisé un exploit.

La seconde appréciation, est la franchise de l’intéressé. Surtout, quand il parle de ses origines, pour reconnaître de façon on ne peut plus explicite, qu’il n’est pas d’ici. Cette révélation est corroborée par l’absence totale dans ce qu’il relate, d’une vision de la Mauritanie, de son passé, de son devenir. Il n’avait aucun projet pour le pays. Ce n’est pas quelque chose qu’on apprend, mais il est indispensable pour diriger, surtout pour les mordus de pouvoir comme lui.

Pour revenir au cas de Dedde, je dis tout simplement que, sans détours, le Colonel a reconnu, entre autres, la pratique de la torture, sans exprimer le moindre regret, ou expliquer quelles mesures il a su prendre pour y mettre un terme. Si personne, à ce jour, n’a porté plainte contre Haidalla, après la sortie de ses « mémoires », c’est que nous sommes tolérants ou amnésiques. Pour quand, notre Habré à nous ?

Haidalla avait bien agi en réprimant ces milices de nationalistes arabisants, qui voulaient baa’thiser ou nassériser le pays en l’entraînant vers un avenir incertain.

Ils ont prospéré sous le régime dictatorial de Ould Taya, qui d’ailleurs les protégeait et les utilisait à ses intentions.

L’arabisation à outrance qu’ils ont favorisée a été une catastrophe culturelle dont tout le monde subit encore les conséquences.

A = b
b = c donc A = C
Les Noirs ont ete tortures et le sont aussi par notre gouvernements. Ce monsieur et ses amis ont ete tortures meme tues par notre systeme. Donc notre est le probleme. Tous les Mauritaniens doivent avoir la main dans la main combattre injustice. C'est ca mon appel.

This is my calling. I'm fighting injustice in Mauritania.

Mr le journaliste,
dénoncé la torture et les tortionnaires un acte juste et légal. C'est également votre droit de pardonner si tel est votre choix.

Par contre, accordez aux autres victimes leur droit de dénoncer, de nommer et de ne pas porter leurs bourreaux dans leur cœurs.

Personnellement, je trouve normale de détester la personne qui vous traite de la façon la plus inhumaine et la dégradable.

un exemple pour les racistes de cridem qui croient que les tortures sont le lot des seuls noirs ,pourtant jusqu'à ce jour vous ne dénoncez pas ces pratiques faites aux maures et qui sont la preuve que les tortures sont faites par un régime pour se défendre et non par racisme.

Les maures sont peut être racistes comme n'importe quelle autre race mais les tortures dont vous avez été victimes sont le fait d'un régime et non d'une communauté comme beaucoup aiment le chanter sur ce site et puis ce monsieur vous donne une leçon de pardon